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Old July 17th, 2014 #16
Alex Linder
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Psychologie comportementale du fascisme

par Brigid Trismegiste

Stimulus, qui en latin signifie aiguillon, désigne tout ce qui peut produire une excitation dans l’économie des êtres organisés – donc des personnes tant physiques que morales. La psychologie comportementale fait du stimulus l’un des éléments servant à définir tout comportement, l’autre étant la réponse que donne l’organisme (par le moyen de muscles et de glandes notamment). Au siècle dernier, le béhaviorisme prétendit établir des lois objectives entre stimuli et réponses, et de prévoir les réponses d’un sujet à des stimulis donnés, sans tenir compte des différences psychiques et raciales desdits sujets : comme toute doctrine universaliste, il était dans l’erreur. En effet, un stimulus dépend de la signification que lui confère le sujet, et celle-ci n’a rien d’objectif : la douleur, même légère, d’une gifle donnée par son amante à un boxeur, peut être ressentie beaucoup plus douloureusement que les coups violents reçus au cours d’un combat sur le ring, car elle comporte une dimension psychologique subjective.

Les stimulis peuvent être aversifs ou appétitifs, selon qu’ils représentent une punition ou la privation d’une récompense. Exemple : en jouant avec vous, un chaton vous mord. Vous avez dès lors deux façons de le corriger : le taper (stimulus aversif : tu mords => tu reçois une tape) ou vous retirer du jeu (stimulus appétitif : tu te conduis mal => je me retire du jeu, te privant de ce plaisir).

La même chose existe dans la nature : un chat qui s’approche d’un oiseau sans se dissimuler correctement voit sa proie s’envoler (privation de récompense) ; le même chat qui empiète sur le territoire d’un congénère se fait rosser par lui (punition). Et les deux grands modes de gouvernement actuellement reconnus, la dictature et la démocratie, répondent à l’emploi et à l’application massive de ces stimulis à l’échelles de tout un peuple .

La dictature s’appuie principalement sur le stimulus aversif : un ordre social donné est appliqué à une nation, et toute personne qui le transgresse, même légèrement, est sévèrement punie. Mais ceux qui l’observent scrupuleusement n’en reçoivent pas de récompense notable. Cela a une double conséquence : la multitude se satisfait de cet état de stabilité sécurisant, qui en revanche horripile les quelques esprits vifs et alertes de la population. Ces derniers, au lieu de mettre leur énergie et leur intelligence au service de la nation, vont les employer à secouer le joug pesant de cet immobilisme par diverses activités subversives. Le pouvoir en place va donc procéder à leur élimination, et en quelques décennies on aboutit à des sociétés intellectuellement figées qui ne progressent plus guère.

La démocratie repose quant à elle plutôt sur le stimulus appétitif : l’individu y est constamment sollicité par une pléthore de récompenses sous la forme de distinctions honorifiques, de situations sociales prestigieuses et de biens dits « de consommation », qui font qu’il va employer toute son énergie et son intelligence à les acquérir, participant de ce fait à la prospérité de la société. En revanche le déviant y est rarement puni de façon coercitive, mais plutôt par une sorte de « mort sociale » : on l’isole, on ne lui parle plus (mes amis « révisionnistes » et « négationnistes » doivent très bien voir de quoi je parle !). Mais comme, bien entendu, il ne peut y avoir que de rares élus pour beaucoup d’appelés, cette façon de gouverner finit par entraîner une exaspération perpétuelle, faite de frustration et d’impuissance mêlée, chez la multitude. Les gouvernants vont alors ajouter à leur cuisine un nouvel ingrédient, l’instabilité sociale, qui fait que plus aucune place, aussi élevée dans l’échelle sociale qu’elle soit, n’est plus sûre : ils croient ainsi rassurer les masses, en leur montrant que nul n’est à l’abri d’une chute et que donc il y aura toujours quelque haute place à saisir. Mais cette incessante inconstance, ces éternelles remises en question qu’on leur impose, exacerbent l’angoisse de la majorité de la population, qui quand elle s’est suffisamment gavée d’anxiolytiques finit par suivre le premier gourou venu disposant de quelque charisme, et par ses soubresauts arrive parfois à renverser le scintillant édifice démocratique.

Nous le voyons, le subjectivisme que le behaviorisme nivellateur avait cru évincer reprend ses droits en ce qui concerne les couches sociales (et bien entendu il en est de même pour les races et les peuples) . Une société fasciste prendra donc en compte l’inégalité naturelle des hommes pour tirer le meilleur de chacun en fonction de son psychisme. Elle empruntera à la dictature punitive pour les castes périphériques, et à la démocratie rétributive pour les castes centrales. Elle donnera l’instabilité stimulante et créative aux unes, et la stabilité rassurante et productive aux autres, par une savamment équilibrée disparité des droits et devoirs de chacun. Car de même que les différentes parties d’un corps humain ne répondent pas toutes de façon similaire à un même stimulus, les différentes composantes d’un corps social doivent recevoir un stimulus approprié pour qu’elles aient envie de donner le meilleur d’elle-même. Le Devoir doit se confondre avec l’Eros pour que les obligations sociales deviennent intérieures et non extérieures, spontanées et non imposées. C’est pourquoi il est absolument indispensable, une fois de plus je le répète, que la caste dirigeante soit exclusivement féminine, pour que les gouvernés y retrouvent la figure de la Mère : dans la famille — qui est la cellule de base de toute société sainement constituée — la mère impulse un sens, une direction à suivre, et les autres suivent non parce qu’ils y sont forcés, mais parce qu’ils ont envie de faire plaisir à l’épouse/mère, alors que l’autorité paternelle est de type dictatorial.

La différence entre le fascisme, qui conjugue donc Ordre et Amour, et la dictature, qui brime souvent sans autre but que de se conserver elle-même, est la même qu’entre autorité maternelle et autorité paternelle : la première a pour objectif l’équilibre et le bonheur de la famille, et est donc de nature immanente, alors que la seconde applique sur la famille un but, ou une condition, de façon arbitraire et égoïste, et peut donc se percevoir comme une forme de transcendance. La plupart des conflits familiaux découlent de cette deuxième situation : une « vérité » imposée à la famille par le père, comme les « révélations » des prophètes hébraïques et plus tard le rationalisme du « siècle des lumières » le furent aux peuples européens.

Le fascisme est par essence érotique, car basé sur la plaisir que prennent les citoyens d’un Etat fasciste à participer à l’aventure du destin de leur peuple. La consensualité ( du latin consensus : unanimité et consentire : ressentir ensemble ) qui est typiquement féminine ( d’ailleurs dans « consensuel » il y a « sensuel ») a tendance à générer une dynamique collective, et procède donc de la perspective fasciste (réunion des énergies vives) et nationaliste (ressenti collectif) : c’est l’anima jungien qui parle. L’animus tend au contraire à s’éparpiller sous prétexte de « créativité », improvise, échappe aux « entraves » de la mémorisation, conduisant de ce fait à l’abandon d’anciennes représentations : déracinement et hyperactivité, stérile concurrence, gaspillage de temps et perte d’énergie. Cela ne fait jamais que satisfaire les vanités (du latin vanitas: vide, futilité, frivolité ) mâles au détriment de la communauté : le monde moderne dans toute sa splendeur — ou toute son horreur. Voici des millénaires que ça dure, il est plus que temps que le pouvoir ne soit plus qu’exclusivement féminin.

Car l’examen des faits sociaux naturels d’une race historique et l’analyse de l’histoire politique d’une nation conduisent à en dégager un certain nombre de vérités propres à un peuple et à lui seul : sa « constante humaine », pour reprendre le mot de Maurras, nous est enseignée par son histoire. Il s’agit donc bien là aussi d’une affaire d’immanence et non de transcendance : n’est-il pas logique que seules les femmes soient en mesure de déterminer les lois historiques régissant la race qu’elles enfantent? Un fascisme vaginocratique n’est donc pas, comme le prétendent nos nombreux détracteurs, une société d’oppression de l’homme par la femme, mais une communauté érotique où les brouillonnes énergies masculine seront canalisées et maîtrisées par la féminité, comme une main de femme contrôle et dirige le faisceau de sperme jaillissant du pénis qu’elle caresse, et use à sa guise du produit qu’elle a su extraire.



Behavioral psychology of fascism

by Brigid Trismegiste

Stimulus, which in Latin means sting means anything that can produce excitation in the economy of organized beings - so both physical and legal persons. Behavioral psychology is one of the stimulus elements used to define any behavior, the other being the answer that gives the body (through muscles and glands in particular). In the last century, behaviorism claimed establish objective laws between stimuli and responses, and predict the responses of a subject to given stimuli, regardless of racial differences and psychic said topics like any universalist doctrine, it was in error. Indeed, a stimulus depends on the meaning that gives it the subject, and it has nothing to aim pain, however slight, is given by his lover a boxer slap, can be felt much more painfully that violent beatings during a fight in the ring, because it has a subjective psychological dimension.

The stimuli may be aversive or appetitive, as they represent a punishment or deprivation of a reward. Example: playing with you, a kitten bites you. You therefore two ways to fix it: the type (aversive stimulus: you bite => you get a tape) or remove from play (appetitive stimulus: you behave badly => I removed the game, depriving you of this pleasure).

The same thing exists in nature: a cat approaching a bird without concealing correctly sees his prey soar (deprivation of reward); the same cat that encroaches on the territory of a congener is thrashed by him (punishment). And the two major modes of government is recognized, dictatorship and democracy, meet the employment and massive application of these stimuli to the scale of an entire people.

Dictatorship is based primarily on the aversive stimulus: a given social order is applied to a nation, and anyone who transgresses, even slightly, is severely punished. But those who observe scrupulously do not receive significant reward. This has two consequences: the multitude satisfied with this state of securing stability, which exasperates the other hand some sharp minds and alerts the population. The latter, instead of putting their energy and intelligence to the nation, are going to use to shake the heavy yoke of this inaction by various subversive activities. Power up is going to dispose of them, and in a few decades we come to intellectually frozen companies that do little more progress.

Democracy depends on it rather on the appetitive stimulus: the individual is constantly approached by a plethora of awards in the form of honors, prestigious social situations and so-called "consumption" goods, which will make it use all his energy and intelligence to acquire, thereby contributing to the prosperity of society. In contrast, the deviant is rarely punished coercively, but rather a kind of "social death" is isolated, it is spoken to him (my friends "revisionists" and "deniers" are very well see what I speak!). But as, of course, it can not be that rare elected for many be called, this way of governing eventually lead to perpetual exasperation, made of frustration and helplessness mingled among the multitude. The governors will then add to their kitchen a new ingredient, social instability, which makes no room, as high in the social scale it is, is not so sure: they believe and reassure the masses, showing them that no one is safe from falling and so there will always be some way to capture high. But this constant inconstancy, these challenged eternal imposed on them, exacerbating the anxiety of the majority of the population, when it is sufficiently fed her anxiolytics eventually follow the first guru came with some charisma, and its ups and downs sometimes overthrow the democratic edifice glittering.

We see, subjectivism that nivellateur behaviorism had thought oust reclaims its rights regarding social classes (and of course it is the same for the races and peoples). A fascist society will therefore take into account the natural inequality of men to take the best from each according to his psyche. It borrows the punitive dictatorship devices castes, and retributive democracy for central castes. It will give instability for some stimulating and creative, productive and reassuring and other stability, a cleverly balanced disparity of rights and duties of each. As well as the different parts of a human body does not meet all similar to the same stimulus, the various components of a social body must receive an appropriate stimulus for them to want to give the best of it itself. Duty must be confused with Eros that social bonds become internal and external non, spontaneous and not imposed. That is why it is absolutely necessary, once again I repeat, that the ruling caste is exclusively female, so that the governed will find the figure of the Mother in the family - which is the basic unit of any society healthy incorporated - the mother impulse meaning, direction to follow, and the others follow, not because they are forced to, but because they want to please the wife / mother, whereas paternal authority is dictatorial.

The difference between fascism, thus combining order and love, and dictatorship, often bullied no other purpose than to preserve itself, is the difference between maternal and paternal authority authority: the first goal for the balance and happiness of the family, and is immanent in nature, while the second applies to the family purpose or condition, arbitrary and selfish way, and can therefore be perceived as a form of transcendence. Most family disputes arising from this second situation: a "truth" imposed on the family by the father, as the "revelations" of the Hebrew prophets and later rationalism "Enlightenment" were the peoples of Europe.

Fascism is erotic gasoline, because it is based on taking pleasure citizens of a fascist to participate in the adventure of the destiny of their nation state. Consensuality (Latin consensus and unanimity consentire: experience together) which is typically feminine (also in "consensual" there "sensual") tends to generate a collective dynamic, and proceeds from the fascist perspective (meeting bright) and nationalist energies (collective emotions) is the Jungian anima talking. The animus, tends to scatter under the pretext of "creativity" improvise, escapes the "shackles" of memory, thereby leading to the abandonment of ancient representations: uprooting and hyperactivity, sterile competition, waste time and energy loss. It never does that satisfy the vanities (Latin vanitas: empty futility, frivolity) males at the expense of the community: the modern world in all its splendor - and all its horror. Here millennia as it lasts, it is high time that the power is no longer exclusively female.

For the examination of natural social facts of race history and analysis of the political history of a nation to lead to identify a number of specific truths to people and alone: his "human constant" in the words of Maurras, is taught by his story. It is therefore well there also a case of immanence and transcendence not: is it not logical that only women are able to determine the historical laws governing race they give birth? A vaginocratique fascism is not, as claimed by our many detractors, an oppression of man by the woman society, but a messy erotic community where male energies will be channeled and controlled by femininity, like a hand woman controls and directs the beam of semen spurting penis caress it and use at will the product it has extracted.

Last edited by Alex Linder; July 17th, 2014 at 03:52 PM.