Dans cette vidéo, Vincent Reynouard répond à plusieurs arguments de "vone nier". Il en profite pour prendre l'historien du Struthof, Robert Steegmann, en flagrant délit d'erreur. Ce dernier se fonde sur les "aveux" de l'ancien commandant pour expliquer le fonctionnement de la prétendue "chambre à gaz" du camp. S'appuyant sur la chimie, Reynouard démontre que ces "aveux" sont totalement irrecevables.