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Old November 10th, 2017 #1
alex revision
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Default Robert Faurisson : L’inéluctable victoire finale du révisionnisme



Sur le plan historique et scientifique, le révisionnisme de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale a fini par remporter, de 1978-1979 à nos jours, toute une série d’écrasantes victoires contre les propagandistes de « l’Holocauste » ou de « la Shoah ». Il a successivement réduit à quia ou contraint à la capitulation tous les grands noms de l’énorme mensonge selon lequel le IIIe Reich aurait exterminé les juifs d’Europe par millions (six millions, selon la version la plus courante) surtout au moyen de prétendues chambres à gaz d’exécution.


Ces grands noms ont été, par exemple, successivement ceux de Léon Poliakov, du prestigieux Fernand Braudel (accompagné de trente-trois universitaires français), de l’éminentissime historien américain Raul Hilberg, de Pierre Vidal-Naquet, de Jacques Baynac, de François Furet et Raymond Aron, de Robert Jan van Pelt, de Jean-Claude Pressac, de Robert Badinter ainsi que de Simon Wiesenthal, d’Elie Wiesel et du père d’Anne Frank, le banquier francfortois Otto-Heinrich Frank.


D’où cet affolement, de nos jours, chez les responsables des organisations qui prétendent représenter la communauté juive dans son ensemble. Devant un tel désastre, il ne restait alors à ces derniers qu’une issue : monter encore plus haut le son de leur tam-tam médiatique et faire en sorte que s’hystérise encore plus la répression judiciaire exercée contre les révisionnistes, qu’on nous présente sous les traits de simples « négationnistes » ou antisémites inspirés par la « haine ».


D’où aussi, pour se limiter aux exemples les plus récents, les condamnations, pêle-mêle, de l’auteur de ces lignes ainsi que d’Alain Soral, d’Hervé Ryssen, de Boris Le Lay et, tout dernièrement, de Dieudonné. Notre génial auteur et acteur de la scène comique vient d’être frappé, en appel, d’un arrêt qui l’expulse de son théâtre, à Paris, le « Théâtre de la Main d’Or », et qui lui inflige une effroyable peine financière (voyez Dieudonné expulsé du théâtre de la Main d’Or et condamné pour antisémitisme, Le Parisien, 8 novembre 2017).


Aujourd’hui même vient de paraître le numéro 3304 de Rivarol. On y lira, en particulier, à la première page, le solide éditorial de Jérôme Bourbon intitulé « Prison ferme pour tous les “délinquants de la pensée” ? » et, en dernière page, on se régalera de l’ingénieux et profond article d’« Hannibal » (Martin Peltier) intitulé « Face au délire, l’obligation d’être fou » ; cet article est illustré d’un dessin de « Chard » (Françoise Pichard) montrant un personnage qui, pour avoir crié « Laissez parler Faurisson ! », a été saisi au collet et va être lâché dans un puits, celui de la « mort médiatique ».


Il semble que les ténors de la répression se promettent de rétablir la guillotine sèche pour ceux qui désobéissent à leurs commandements. Je les mets en garde. Il faut qu’ils sachent – s’ils ne le savent déjà – que, pour ma part, sans haine, sans colère, sans désir de vengeance, je poursuivrai, dans la mesure où ma santé et mon âge me le permettront, la tâche que je me suis tranquillement assignée il y a cinquante-sept ans, celle d’observer, dans mes recherches sur un point précis et délicat de l’histoire de la guerre de 1939-1945, l’exactitude qu’on est en droit d’attendre d’un honnête chercheur, d’un bon détective, d’un arbitre impartial, d’un gentleman.


Encore dans l’actualité, notons que le prix Goncourt et le prix Renaudot viennent, tour à tour, d’être attribués à Eric Vuillard et à Olivier Guez, deux futés qui savent que, de nos jours, le meilleur moyen de se mettre dans le vent est d’aller clatir avec la meute et de hurler leur haine des vaincus du 8 mai 1945. Hommage est rendu à ces deux romanciers aujourd’hui même dans Le Monde, à la page 24, par Raphaëlle Leyris et Florent Georgesco. Soixante-douze ans après la bataille, on ne saurait faire mieux à la fois dans les crachats dont il convient de couvrir les cadavres des vaincus et dans la complaisance qu’il faut afficher à l’égard d’un mythe forgé et entretenu par les vainqueurs. Mais, tôt ou tard, ce mythe, déjà totalement démantelé sur le plan historique et scientifique, ne pourra que finir dans les poubelles de l’histoire.

8 novembre 2017


Prison ferme pour tous les “délinquants de la pensée” ?


La répression, telle une machine infernale, ne cesse de se renforcer et de punir les opinions dissidentes. En cette seule année 2017, des peines de prison ferme ont été prononcées contre des personnalités aussi connues que Dieudonné et Alain Soral et contre des publicistes et polémistes comme Hervé Ryssen et Boris Le Lay. L’humoriste a été condamné définitivement en Belgique à deux mois de prison ferme et 9 000 euros d’amende pour « incitation à la haine » et propos jugés antisémites.


Dieudonné était poursuivi pour des propos tenus lors d’un spectacle en mars 2012 à Herstal, dans la région de Liège, devant un millier de spectateurs, et qui avaient été enregistrés par la police. Chaque année des millions de crimes et de délits sont commis mais la police n’a rien d’autre à faire que d’enregistrer les spectacles de Dieudonné et de transmettre l’enregistrement à la justice en vue de le faire condamner, c’est ahurissant ! Alain Soral a, lui, été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir publié sur son site Egalité et Réconciliation un dessin jugé “négationniste”. Le blogueur Boris Le Lay, en exil au Japon, a été, quant à lui, condamné à un total de six ans de prison ferme, le tribunal de Quimper en juillet dernier l’a condamné à 32 mois de prison ferme pour « provocations à la haine raciale », la loi Pleven, contrairement à la loi Gayssot, permettant — ce que l’on ne sait pas suffisamment — de prononcer des peines jusqu’à cinq ans d’embastillement ! Le Lay est également condamné à verser 31 500 euros de dommages et intérêts aux parties civiles. On est loin du franc ou de l’euro symbolique ! Enfin l’écrivain Hervé Ryssen a été condamné le 13 octobre dernier par la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris à onze mois de prison ferme pour provocation à la haine et diffamation raciales pour divers messages publiés sur les réseaux sociaux.


Qu’on nous comprenne bien, il ne s’agit pas là de simples réquisitions du ministère public mais de sanctions prononcées par des tribunaux et qui sanctionnent des délits d’opinion. La loi Pleven a été votée en 1972, la loi Gayssot en 1990, elles prévoient des peines lourdes (jusqu’à cinq ans de prison ferme pour la première, jusqu’à un an pour la seconde) mais pendant un certain nombre d’années les tribunaux rechignaient à condamner de manière implacable l’expression de simples opinions. Des amendes pouvaient être prononcées, parfois des peines de prison avec sursis, mais à peu près jamais des peines de prison ferme. Ce n’est plus le cas désormais. Les nouvelles générations de magistrats qui ont été élevées au biberon de l’antiracisme unilatéral, de l’idéologie dite anti-discriminatoire et dans la détestation des idées et des régimes d’ordre et de propreté n’hésitent plus à condamner à des peines de prison des publicistes, des écrivains, des essayistes voire des amuseurs.


Pour avoir été moi-même poursuivi de nombreuses fois en tant que directeur de la publication pour des articles publiés dans RIVAROL, j’ai été frappé de constater que beaucoup de magistrats nous voient vraiment comme des êtres dangereux et malfaisants, aux idées criminogènes et qu’il convient donc de réprimer sévèrement. Bien souvent les magistrats auxquels nous avons eu à faire face, et qui sont très majoritairement aujourd’hui des personnes du sexe, comme disaient drôlement autrefois les moralistes pour parler de la gent féminine, sont sincèrement opposés à tout ce que nous sommes, à tout ce que, à leurs yeux, nous représentons.


Qu’il y ait chez certains des calculs carriéristes c’est fort possible mais le plus souvent la franche hostilité qu’ils ne prennent même pas la peine de cacher prouve qu’ils nous voient comme des ennemis idéologiques à abattre. Ce qui est pour le moins surprenant car un magistrat se devrait d’être impartial et de ne pas faire connaître ses sentiments. Mais c’est oublier que la justice est toujours au service du pouvoir et de l’idéologie dominante. La Fontaine le disait déjà : « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir ». Reste que lorsque Thémis se met ouvertement au service de l’injustice, la légitimité d’un régime, d’un pouvoir est forcément mise en question. La façon dont les jugements sont rendus en dit toujours long sur une époque, un régime, un pouvoir. De ce point de vue, le communisme et la Révolution française ont été particulièrement en pointe dans les injustices et les ignominies en tous genres. Mais ils n’ont pas été les seuls. Et si aujourd’hui nous ne sommes pas décapités ou exilés à Cayenne ou en Sibérie, les jugements de la XVIIe, et des autres tribunaux, fonctionnent comme une guillotine sèche.


Ce qui est d’ailleurs très efficace car cette répression, de plus en plus sévère, favorise l’autocensure et annihile la liberté de s’exprimer, et même parfois de penser librement. Combien de fois avons-nous rencontré des gens nous disant : « vous avez raison mais ce que vous dites on n’a pas le droit de le dire, donc on ne dit rien ». Ce qui est dramatique car si une vérité n’est plus dite, si un mensonge n’est plus débusqué, si une injustice n’est plus dénoncée, c’est tout le corps social qui se putréfie. Nous finissons par vivre dans l’univers clos du mensonge. Et il est impossible de guérir des maux dont nous souffrons si nous ne pouvons ou n’osons plus les identifier, les nommer, les dénoncer. Comment mettre en œuvre une thérapeutique si le diagnostic n’est pas établi ?


Quant à nous, nous devons faire le choix de dire en tout la vérité. Quoi qu’il en coûte. La vérité en histoire, en politique, en morale, en religion. La vérité sur les hommes, sur les chiffres, sur les situations. Qu’elle soit joyeuse ou douloureuse, et Dieu sait qu’elle est souvent cruelle. Car l’homme est fait pour la vérité. A quelqu’un qui ment et qui a l’habitude de mentir, on ne peut plus faire confiance. Le mensonge détruit tout. Combien de familles, d’institutions, d’organisations ont été détruites ou avilies par ce vice ? On ne le dira jamais assez mais dans un univers fondé sur l’imposture, dire la vérité est un acte révolutionnaire, au bon sens du terme. Un acte salvateur et libérateur. Soljenitsyne le disait souvent : la meilleure façon de lutter contre le communisme et son système criminel et mensonger, de se libérer de ce monstre totalitaire, c’est de refuser le mensonge tant dans sa vie publique que dans sa vie privée, c’est de dire la vérité, celle seule qui rend libre.


Rivarol n°3304 du 8/11/2017


https://www.jeune-nation.com/divers/...la-pensee.html


Face au délire, l’obligation d’être fou

A propos de Simone Veil, le cher Henry de Lesquen remarquait dans un tweet taquin que, finalement, la vie dans les camps allemands n’empêchait pas certains détenus d’avoir prospéré longtemps, heureux, en bonne santé et munis d’une descendance nombreuse. Je le soupçonne de ne pas aimer beaucoup feue Simone Veil. La longévité sur laquelle il ironisait sans beaucoup d’empathie concerne aussi les gardiens. Ce doit être le climat polonais, qui sélectionne les endurants. A preuve les innombrables gardiens nonagénaires dont les prétoires allemands s’emplissent depuis quelques années. Le dernier en date est aussi le plus vieux, ce qui a quelque chose d’arithmétiquement rassurant. L’homme, âgé de 96 ans, est soupçonné de “complicité” dans la mort d’« au moins dix-sept mille juifs ». Etant gardien à Majdanek près de Lublin, il aurait été au courant sans protester de l’opération « Fête de la Moisson » menée par les SS entre août 1943 et janvier 1944, au cours de laquelle plus de 17 000 juifs auraient été abattus dans des fosses ad hoc.


L’accusation est plus grave qu’il ne semble. En effet, on pourrait accuser ce gardien, et l’ensemble du personnel du camp de Majdanek avec lui, de contestation de crime contre l’humanité. Il est en effet reçu que 60 000 juifs auraient péri à Majdanek pendant la guerre. Si l’on élimine les « au moins 17 000 » qui ont été fusillés pendant la fête de la moisson, il n’en reste au plus que 43 000 pour toutes les autres causes de décès, qui sont nombreuses : en effet, à Majdanek, les juifs furent « assassinés dans des chambres à gaz, ou morts de faim, de maladies ou d’épuisement au travail ». Quant on connaît la mortalité “ordinaire” alléguée des camps, avec le typhus, les mauvais traitements, les privations, il ne reste quasiment rien pour la chambre à gaz. Cela revient à dire que les chambres à gaz de Majdanek fonctionnaient très mal et très peu. On doit signaler ce fait à la Licra et l’ajouter au dossier d’accusation du nonagénaire.


Un autre destin coquin peut embarrasser la Licra : il s’est glissé dans la politique d’immigration de la république algérienne démocratique et populaire. Le 360, « media digital marocain », affirme que « le racisme envers les Subsahariens devient une politique d’Etat ». Selon ce site très critique avec l’Algérie, Alger « vient de lancer la plus grande chasse à l’homme noir depuis 1962. Certes, elle avait commencé sous Abdelmalek Sellal mais elle connaît son paroxysme depuis la nomination à la tête du gouvernement algérien d’Ahmed Ouyahia ». Et de citer des choses proprement horribles, que j’ai du mal à retranscrire. Selon l’avocat Farouk Ksentini, président de la commission algérienne consultative de promotion et de protection des droits de l’homme, la présence de migrants africains expose les Algériens « au risque de la propagation du sida ainsi que d’autres maladies sexuellement transmissibles ». Même Le Pen n’aurait jamais dit ça ! Pire, le dérapeur ne s’est pas excusé ! Et le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, n’a pas pipé mot — pour la bonne raison que Ksentini est son conseiller spécial.


Un autre proche de Bouteflika, son propre directeur de cabinet, qui était en même temps ministre d’Etat, Ouyahia, a multiplié les « déclarations scandaleuses », n’hésitant pas à dire que « ces étrangers en séjour irrégulier amènent le crime, la drogue et plusieurs autres fléaux ». Ce n’est pas en France qu’on pourrait entendre ça. Ni qu’on verrait celui qui les a tenus devenir Premier ministre. Ce qui provoque cette lamentation de 360 : « Nommé au poste de Premier ministre, Ouyahia obtient carte blanche, si ce n’est l’ordre de mission pour peaufiner et exécuter sa solution finale : plus de migrants subsahariens en Algérie, légaux ou illégaux ». Voici comment notre confrère marocain décrit cette solution finale : « Les migrants arrêtés à Alger et sa périphérie, ainsi qu’à Blida, sont conduits dans un camp de transit, à Réghaïa, dans la banlieue algérienne, dans des conditions répugnantes. » Puis ils sont « conduits dans des conditions inhumaines à Tamanrasset, près de 2 000 kilomètres plus au sud, avant d’être “abandonnés” par les autorités algériennes à la frontière avec le Niger ».


Selon le ministre nigérien des Affaires étrangères, Ibrahim Yacoubou, « plus de vingt mille Nigériens ont été expulsés d’Algérie en 4 ans », et il souhaite « définir un cadre plus précis pour gérer cette immigration » avec les autorités algériennes. 360 voit dans tout cela, le vocabulaire utilisé, les interpellations, les expulsions, la manifestation d’une « politique d’Etat » et d’un “racisme” anti-noirs. Il dénonce les rafles « au faciès » des « Subsahariens », ramassés « comme des malfrats », y compris « des femmes enceintes et des enfants ». Le récit composé à partir de témoignages de migrants est “glaçant” : voilà un nouvel élément de langage à la mode dans le parler du camp du bien : les exploits de Weinstein et Ramadan sont eux aussi dits “glaçants”.


Hervé Ryssen lourdement condamné. J’ai croisé Hervé Ryssen naguère lors d’un pot des Amis de RIVAROL, il m’avait aimablement dédicacé un livre. Hélas, allant dîner ensuite, je l’ai oublié au restaurant. Il se trouve que je n’ai rien lu de lui, sinon quelques quatrièmes de couverture, titres et tweets. Tout ne m’y paraît pas sot ni faux, mais il a, semble-t-il, le défaut, aux yeux des puissants, de dire les choses sans détour et de se donner pour « raciste et antisémite ». Il faudra que je le lise. En attendant, sa condamnation à onze mois de prison ferme condamne un système qui prétend faire de la liberté son alpha et son oméga, tout en interdisant l’expression de certaines opinions en les transformant en délits : le stratagème est si grossier qu’il justifie à lui seul le mépris de ce qui s’appelle république ou état de droit. Dans un Etat digne de ce nom, on devrait pouvoir se dire homophobe, sexiste, raciste, antisémite en toute tranquillité.


L’extension du domaine de la censure croît sans cesse. La BBC demande excuse à ses auditeurs d’avoir laissé parler à l’antenne Lord Lawson, ancien ministre climato-sceptique, sans le contredire. Après la race et le genre, la tyrannie morale s’étend maintenant au climat.


On sait que la liberté de parole est surveillée à la Radio. Les journalistes ont la consigne, qu’encadrent en France les lois Pleven et Gayssot, de ne pas laisser passer une parole prononcée par un invité lors d’une interview qui pourrait passer pour antisémite, raciste, ou discriminatoire à l’égard d’une religion, d’une « orientation sexuelle », d’une nationalité, sans la relever avec réprobation et la contredire. Ainsi le veut le code moral imposé par les lobbyistes aux législateurs, aux media par la loi, au public par les media. […]

HANNIBAL.
 
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