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Old January 15th, 2020 #1
alex revision
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Default Le premier document politique d’Adolf Hitler : Une lettre à Adolf Gemlich

Le premier document politique d’Adolf Hitler : Une lettre à Adolf Gemlich

Cette lettre extraordinaire est le premier document politique connu rédigé par Adolf Hitler le 16 septembre 1919.

Cher Herr Gemlich,

Si le danger que constitue aujourd’hui le judaïsme pour notre peuple se traduit par une hostilité indéniable de la part d’une grande partie de notre peuple, les causes de cette aversion ne sont pas à chercher dans la conscience claire que les juifs dans leur ensemble, consciemment ou inconsciemment, ont un effet systématiquement corruptif sur notre nation. Elle résulte plutôt d’une expérience personnelle et de l’impression que le juif donne en tant qu’individu, qui est presque toujours défavorable. Par conséquent, l’antisémitisme acquiert très facilement un caractère émotionnel. Mais ce n’est pas raisonnable. L’antisémitisme en tant que mouvement politique ne devrait pas et ne peut pas être fondé sur des sentiments momentanés, mais sur une reconnaissance des faits. Les faits sont les suivants :

Tout d’abord, les juifs constituent incontestablement une race et non une communauté religieuse. Le Juif ne se qualifie jamais d’Allemand juif, de Polonais juif ou même d’Américain juif, mais toujours de Juif allemand, polonais ou américain. Vivant au milieu des peuples étrangers, le Juif n’a jamais assimilé d’eux plus que leur langue. Et pas plus qu’un Allemand qui est forcé d’utiliser la langue française en France, la langue italienne en Italie et la langue chinoise en Chine, ne devient par là un Français, un Italien ou, encore moins, un Chinois, on ne peut plus qualifier d’Allemand un Juif qui vit parmi nous, et qui est donc obligé d’utiliser la langue allemande. Même la foi mosaïque, aussi importante soit-elle pour la préservation de cette race, n’est pas le seul critère pour déterminer si une personne est juive ou non juive. Il n’y a guère de race dont tous les membres appartiennent à une seule religion.

Grâce à la consanguinité pendant des milliers d’années, souvent dans de très petits cercles, le Juif a préservé sa race et ses traits de caractère avec plus de succès que nombre des autres peuples parmi lesquels il vit. En conséquence, vit parmi nous une race étrangère, non allemande, qui ne veut et ne peut renoncer à son caractère racial ou nier ses propres sentiments, pensées et ambitions, mais qui jouit néanmoins des mêmes droits que nous. Et comme les sentiments du Juif sont complètement matérialistes, ses pensées et ses ambitions le sont encore plus. La danse autour du veau d’or devient une lutte impitoyable pour toutes ces choses dont nous sentons au fond de nous qu’elles ne sont pas les plus hautes et qu’elles ne sont pas les seules qui valent la peine d’être recherchées sur cette Terre.

La valeur de l’individu n’est plus fondée sur son caractère ou sur l’importance de ses réalisations pour la communauté, mais uniquement sur l’importance de sa fortune, de sa richesse.

La grandeur d’une nation ne se mesure plus à la somme de ses ressources morales et spirituelles, mais seulement à l’étendue de ses biens matériels.

De ces sentiments viennent l’attitude mentale et la recherche de l’argent, et le pouvoir de le protéger, ce qui permet au juif de devenir si peu scrupuleux dans le choix de ses moyens et si impitoyable dans leur application. Dans les États autocratiques, il s’humilie devant la « majesté » de la royauté et abuse de ses faveurs pour devenir une sangsue sur le peuple. Dans une démocratie, il lutte pour obtenir les faveurs des masses et se prosterne devant la « majesté du peuple », mais ne reconnaît que la majesté de l’argent.

Il détruit le caractère de la royauté par les flatteries byzantines ; et la fierté nationale, la force d’un peuple, par le ridicule et l’incitation éhontée au vice. Son arme est l’opinion publique, qui n’est jamais vraiment représentée dans la presse, mais que la presse manipule et falsifie. Son pouvoir est le pouvoir de l’argent, qu’il accumule sans effort et sans fin sous forme d’intérêts et avec lequel il impose au peuple un joug des plus dangereux qui est d’autant plus pernicieux que son éclat doré masque ses affreuses conséquences ultérieures. Tout ce qui encourage les gens à aspirer à des choses plus élevées, que ce soit la religion, le socialisme ou la démocratie, le Juif l’utilise simplement comme un moyen de satisfaire sa soif de richesse et de pouvoir.

Le résultat de son travail est la tuberculose raciale parmi les nations.

Et voici les conséquences : l’antisémitisme purement émotionnel s’exprime finalement sous forme de pogroms. Toutefois, l’antisémitisme rationnel doit conduire à une lutte juridique systématique contre les privilèges dont jouissent les Juifs par rapport aux étrangers qui vivent parmi nous et à leur éradication [de ces privilèges] (lois sur les étrangers). L’objectif final, cependant, doit être l’élimination complète des Juifs. Ces deux objectifs ne peuvent être atteints que par un gouvernement de force nationale, jamais par un gouvernement d’impuissance nationale.

La République allemande doit sa naissance non pas à la volonté nationale unifiée de notre peuple, mais à l’exploitation sournoise d’une série de circonstances qui, prises ensemble, ont exprimé un profond mécontentement général. Ces circonstances, cependant, se sont produites indépendamment de la forme de gouvernement qui a émergé et sont encore présentes aujourd’hui. En fait, plus que jamais auparavant. C’est pourquoi une grande partie de notre peuple se rend déjà compte qu’un simple changement de forme de gouvernement en tant que tel ne peut changer et améliorer notre situation, mais seulement une renaissance de la force morale et spirituelle de la nation.

Et cette renaissance ne peut être provoquée par des politiciens élus par des majorités irresponsables sous l’influence de dogmes partisans particuliers ou par une presse irresponsable utilisant des phrases et des slogans internationalistes, mais seulement par la détermination impitoyable de personnalités nationales agissant avec un sens profond des responsabilités.

Ces faits privent la République du soutien intérieur des ressources spirituelles nécessaires de la nation. Les dirigeants politiques actuels sont donc contraints de chercher le soutien de ceux qui, seuls, ont profité et continuent de profiter des conditions nouvellement créées en Allemagne et qui, pour cette raison, ont aussi été la force motrice de la révolution – les Juifs.

Sans tenir compte des dangers clairement reconnus du judaïsme (prouvés par diverses déclarations de personnalités éminentes), les dirigeants politiques actuels sont contraints, dans leur propre intérêt, d’accepter le soutien des Juifs et de leur donner le paiement demandé en retour. Ce remboursement consiste non seulement à céder à toutes les demandes juives possibles, mais surtout à empêcher les trahis de combattre leurs traîtres, c’est-à-dire en réprimant le mouvement antisémite.

Sincèrement vôtre,

Adolf Hitler

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Source : The National Socialist, numéro 4 (printemps 1982), p. 17-18.

https://grandfacho.com/?p=27220
 
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