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Old November 10th, 2012 #1
alex revision
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Le « procès Céline » sur Arte…



http://bibliothequedecombat.wordpres...line-sur-arte/



… avec l’aimable réquisitoire de Pierre Assouline (Talmud), Emile Brami (Talmud), Madeleine Chapsal (épouse de Jean-Jacques Servan-Schreiber - Talmud), Serge Klarsfeld (Talmud), Pierre-André Taguieff (Talmud), Stéphane Zagdanski (Talmud)… Un documentaire très objectif diffusé sur Arte, chaîne dont le Président du Conseil de surveillance est Bernard-Henry Lévy (Talmud), la Présidente est Françoise Benhamou (Talmud) et l’un des gérants fut longtemps Jérôme Clément (Talmud).

Ce qu’il faut retenir de ce beau reportage, c’est que Louis-Ferdinand Céline :

1) ne s’est pas repenti de ses opinions violemment antisémites, même après la guerre, et même sous la menace de son règlement de compte en bonne et due forme pendant l’épuration,

2) n’a pas été puni comme il se devait à la manière d’un Drieu La Rochelle (poussé au suicide) ou d’un Robert Brasillach (fusillé),

3) pire, est mort de vieillesse dans son lit,

4) avait des soupçons sur la réalité de l’existence des chambres à gaz (sic !),…*

… ce qui, on en conviendra, est tout bonnement insupportable, intolérable et scandaleux, et mérite par conséquent le déshonneur, l’opprobre et la haine de toute la communauté nationale (et mondiale !) au commencement, maintenant et toujours, et pour les siècles des siècles, Amen !






 
Old November 10th, 2012 #2
Freya von Asgard
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Le cas Louis-Ferdinand Celine n'en a pas fini de dérayer la chronique, car beaucoup d"intellectuels" dits "de gauche" défendent l'homme de lettre tout en rejetant les idées - comme font beaucoup de philosophes avec Heidegger. Personnellement c'est plutôt l'inverse, je partage bien évidemment les idées antisémites de L-F.Céline mais voue son style littéraire à l'abomination : pour moi, c'est aussi illisible que San-Antonio. Sorti de là je n'aime pas beaucoup l'homme, son Bardamu est un anti-héros à son image, imprécateur vain qui n'annonce que l'inéluctabilité de la décadence sans rien proposer à la place ni après. En érigeant le cynisme et le désespoir comme style de vie, Céline est à l'antithèse de la vision héroïque et aryenne dont les Français auraient eu besoin. Je le rejette avec la même vigueur que Drieu la Rochelle, cette girouette idéologique à la sensibilité de midinette menstruellement déréglée.
__________________
Nemo me impune lacessit: sanctificetur nomen meum, adveniat regnum meum, et fiat voluntas mea in terra

卍 Freya Magna, Augusta Europaea 卐
 
Old November 11th, 2012 #3
Julie Couronne
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Tout à fait d'accord en ce qui concerne le style, et même l'esprit. Je leur préfère nettement un Robert Brasillach, et même un Charles Maurras, même si ce n'est pas la même génération et si je ne suis ni monarchiste, ni ultramontaine.
 
Old December 3rd, 2012 #4
alex revision
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Céline:


" Les Juifs contrôlent tous les leviers essentiels du pouvoir. "




Avant même la parution de l'ouvrage, l'écrivain évoque dans sa correspondance le thème de Bagatelles qu'il considère central, à savoir les juifs:

- "Je vais sortir un livre : Bagatelles pour un massacre, un livre sur les juifs" (lettre à E. Pollet)

- "Je viens de publier un livre antijuif, je vous l'envoie. Je suis l'ennemi n°1 des juifs" (lettre au Docteur W. Strauss)

- "Vous allez recevoir par la poste mon nouveau livre. Bagatelles pour un massacre, très fortement antijuif." (lettre à John Marks, son éditeur américain)

L'ouvrage est très diffusé : plus de 20.000 exemplaires pour le premier tirage, très vite épuisé, et autour de 75.000 vers la fin de la guerre
Examinons le "style" de cet écrivain :


"Les 15 millions de juifs enculeront les 500 millions d'Aryens."


Bagatelles pour un massacre, 1937, p.127.


"Personnellement je trouve Hitler, Franco, Mussolini fabuleusement débonnaires, admirablement magnanimes, infiniment trop à mon sens, pacifistes bêlants pour tout dire, à 250 prix Nobel, hors concours, par acclamations ! Ça durera peut-être pas toujours. Les glaives ça retombe quelquefois."


L'École des cadavres, 1938, p.62


" Désinfection ! Nettoyage ! [...] Et c'est marre, et c'est tout."


L'École des cadavres, 1938


" Nous nous débarrasserons des Juifs, ou bien nous crèverons des juifs, par guerres, hybridations burlesques, négrifications mortelles."


L'École des cadavres, 1938


" Distinction entre les bons Juifs et le mauvais Juifs ? Ça rime à rien. Les Juifs possibles, patriotes, et les Juifs impossibles, pas patriotes ? Rigolade ! Séparer l'ivraie du bon grain. [...] Le chirurgien fait-il la distinction entre les bons et les mauvais microbes ?"


L'École des cadavres, 1938


"Le Juif Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et il l'a gardée."


L.F. Celine Bagatelles Pour un Massacre



Voici comment l'historien Robert Soucy, professeur émérite à Obelin College (Ohio, Etats-Unis), analyse l'anti-judaïsme de Céline :

Après 1936, [Céline] écrivit trois ouvrages antijuifs: Bagatelles pour un massacre (1937), L'Ecole des cadavres (1938) et Les Beaux Draps (1941). Ils mettent en lumière son admiration pour l'Allemagne antijuive et son attachement à un grand nombre d'idées que les patriotes français propageaient depuis 1924, y compris un réalisme "viril" qui fulmine contre le marxisme, le libéralisme, la franc-maçonnerie juive, le matérialisme, l'hédonisme et le féminisme.

Ces opinions s'accompagnent d'un patriotisme antijuif. Selon Céline, les Juifs dominent la France sur les plans politiques, économique, social et culturel. Selon Céline, se montrer docile avec les Juifs, c'est courir le risque de se faire violer par eux.

On trouve un thème récurrent dans ces trois écrits : les Juifs pratiquent une forme d'"antisémitisme" à l'envers: ils veulent dominer, maltraiter et exterminer d'innocents Français. Céline laisse entendre qu'en se défendant contre de tels monstres les Français n'ont nul besoin de se sentir coupables de réagir comme eux. L'antijudaïsme est de l'autodéfense et non une agression injustifiée.

Il accuse le communisme d'être un des pires maux des temps modernes. Il le rattache à la conspiration juive internationale décrite dans Les Protocoles des sages de Sion.

Dans son esprit, les marxistes et les libéraux sont les traîtres par excellence, mais derrière eux, orchestrant leurs activités, on trouve toujours les Juifs. Les francs-maçons sont les « chiens volontaires des Juifs, goinfresses en toutes poubelles, en tous déchets juifs » ; « Les Juifs sont nos maîtres : ici, là-bas en Russie, en Angleterre, en Amérique, partout ! » Les Juifs infiltrent les mouvements révolutionnaires, contraignent les riches à s'endetter, multiplient les crises économiques, réduisent les nations à l'esclavage, engendrent la faim et les privations.

Les Juifs contrôlent tous les leviers essentiels du pouvoir. Tous les trusts français, tous les journaux français, toutes les banques françaises appartiennent aux Juifs. Il n'y a que le travail qui soit français. La Sorbonne est devenue un ghetto, une "synagogue en surpression ", tandis que l'art est aussi sous la coupe des Juifs.

Selon Céline, Joseph Staline, Franklin Roosevelt ( "Rosenfeld"), Neville Chamberlain et même le pape (qui s'appelle en réalité "Isaac Ratisch") sont tous juifs. Comme, les juifs tentent aujourd'hui d'entraîner les USA dans une guerre contre l'Iran, Céline déclara en 1937 que les Juifs essayaient d'entraîner la France dans une guerre contre l'Allemagne : «Que veulent-ils, les Juifs, derrière leur baragouin socialistico-communiste ? [...] Qu'on aille se faire buter pour eux. [...] Qu'on aille, nous, faire les guignols devant les mitrailleuses d'Hitler. Pas autre chose ! » « Toutes les guerres, toutes les révolutions ne sont en définitive que des pogroms d'Européens organisés par les Juifs. » Prétendre que les Allemands détestent Hitler, qu'une "bonne guerre" contre l'Allemagne profiterait à la France, c'est avaler la propagande de la « grande enculerie française maçonnico-talmudique juive ».

Céline explique que les Juifs sont des sodomites brutaux, des fornicateurs sans retenue, « hybrides afro-asiatiques, un quart ou à moitié nègres et métèques ». « Les Juifs, racialement, sont des monstres, des hybrides loupés, tiraillés, qui doivent disparaître. [...] Le Juif n'a jamais été persécuté par les Aryens. Il s'est persécuté lui-même. Il est le damné de sa propre substance, des tiraillements de viande d'hybride. [...] Les Youtres c'est comme les punaises. [...] Quand t'en prends une seule dans un plume, c'est qu'elles sont dix mille à l'étage ! Un million dans toute la crèche. [...] Ohé ! Oyez la Juiverie ! [...] Je vous entend branler ! fouiller ! foutriquer vos poubelles ! [...] Plus vils que le banc des rhinos dans la fiente en panique ! »

Céline juge l'antijudaïsme de l'Action Française trop tiède, trop "feutré", trop littéraire : « Si vous voulez dératiser un navire, dépunaiser votre maison, vous n'allez pas dératiser à demi, dépunaiser seulement votre premier étage ? Vous seriez certains d'être envahis dans un mois, par dix fois plus de rats, vingt fois plus de punaises. »

Une des grandes caractéristiques de la pensée de Céline est sa fierté d'être un réaliste dur, son mépris pour tout ce qui a un relent d'hypocrisie victorienne. [...] Céline présente son anti-judaïsme comme une forme de bravoure personnelle, une preuve qu'il a plus de "couilles" que la plupart des écrivains de son temps. Pour Céline: être faible, c'est courir le risque de se faire sodomiser par le Juif. [...]

Robert Soucy,

Fascismes français ? 1933-1939, Mouvements antidémocratiques,
Collection Mémoires, Editions Autrement, 2004,
pp 415-420



Dans "Les Beaux Draps", Céline insiste :
« Y a plus une seconde à perdre. Volatiliser sa juiverie serait l'affaire d'une semaine pour une nation bien décidée. »

Les Beaux Draps, 1941


Ce que Céline reproche au régime de Vichy, c'est sa mollesse. Le 7 décembre 1941, Ernst Jünger, alors capitaine de l'état-major de l'armée allemande à Paris, rencontre Céline à l'Institut allemand. Il note dans son journal :

« II [Céline] dit combien il est surpris, stupéfait, que nous, soldats, nous ne fusillions pas, ne pendions pas, n'exterminions pas les Juifs - il est stupéfait que quelqu'un disposant d'une baïonnette n'en fasse pas un usage illimité. "Si les Bolcheviks étaient à Paris, ils vous feraient voir comment on s'y prend ; ils vous montreraient comment on épure la population, quartier par quartier, maison par maison ».


4 septembre 1941,
dans "Notre combat pour la nouvelle France socialiste"
 
Old May 16th, 2014 #6
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Le premier jet du "Voyage au bout de la nuit" de Céline enfin publié



Un trésor de la littérature, le manuscrit du premier jet du chef-d'oeuvre de Céline, "Voyage au bout de la nuit", disparu pendant 60 ans et acquis par la Bibliothèque nationale en 2001, est enfin édité. Une publication qui lève le voile sur la genèse du roman d'un des plus grands auteurs du XXe siècle.

Le premier jet du "Voyage au bout de la nuit" de Céline enfin publié
 
Old May 26th, 2014 #7
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je ne connais que deux médecins ayant à proprement parler du génie : Petiot et Céline. Michel Audiard




A 16 heures, le 27 mai 1894, naît Louis Ferdinand Auguste Destouches, au 11 Rampe du pont à Courbevoie (Seine).

Entre 1907 et 1909, Louis Destouches est envoyé par ses parents en Allemagne et en Angleterre pour apprendre les langues étrangères avant de se destiner à une carrière commerciale.

Après son retour en France, en novembre 1909, Louis Destouches entame sa période d’apprentissage.

Le 21 septembre 1912, Louis Destouches devance l’appel et s’engage pour trois ans. C’est à Rambouillet, au 12e régiment de cuirassiers, qu’il effectue ses classes. Nommé Brigadier le 5 août 1913 puis Maréchal des Logis le 5 mai suivant.

Au mois d’octobre 1914, dans les Flandres, Louis Destouches connaît son baptême du feu. Volontaire pour assurer une liaison risquée dans le secteur de Poelkapelle, entre le 66e et le 125e régiments d’infanterie, il est blessé par balle au bras droit. Réopéré en janvier 1915, il est déclaré inapte au combat, et est affecté comme auxiliaire au service des visas du consulat français à Londres, puis réformé après avoir été déclaré handicapé à 70 % en raison des séquelles de sa blessure.

Après la guerre, Louis-Ferdinand Destouches se fixe à Rennes. Il épouse Édith Follet, la fille du directeur de l’école de médecine de Rennes, le 10 août 1919 à Quintin (Côtes-du-Nord). Celle-ci donne naissance à son unique fille, Colette Destouches (15 juin 1920 – 9 mai 2011).

Il prépare alors le baccalauréat, qu’il obtiend en 1919, puis poursuit des études de médecine de 1920 à 1924 en bénéficiant des programmes allégés réservés aux anciens combattants. Sa thèse de doctorat de médecine, La Vie et l’Œuvre de Philippe Ignace Semmelweis, est considérée comme sa première œuvre littéraire.

Après son doctorat, il est embauché à Genève par la fondation Rockefeller qui subventionne un poste de l’Institut d’hygiène de la SDN, fondé et dirigé par le Dr Rajchman. Il effectue plusieurs voyages en Afrique et en Amérique avec des médecins.

Son contrat à la SDN n’ayant pas été renouvelé, Il finit par être engagé au dispensaire de Bezons.

C’est toute cette partie de sa vie qu’il relate à travers les aventures de son antihéros Ferdinand Bardamu, dans son roman le plus connu, Voyage au bout de la nuit (1932). Ce premier livre a un retentissement considérable. Le roman reçoit le prix Renaudot, après avoir manqué de peu le prix Goncourt.

Le 26 septembre 1933, paraît L’Église, pièce de théâtre écrite en 1926 et 1927, où figurent des allusions antisémites..

Le 12 mai 1936, en plein Front populaire, paraît le deuxième roman de Céline, Mort à crédit, avec des coupures imposées par l’éditeur. Les critiques, de gauche comme de droite, se déchaînent contre le livre.

En 28 décembre 1936, il publie Mea culpa, vision apocalyptique de la nature humaine. Dans ce pamphlet, l’auteur exprime d’abord son dégoût du capitalisme et des bourgeois, avant de s’en prendre au communisme.

Céline publie deux pamphlets fortement marqués par un antisémitisme virulent : Bagatelles pour un massacre (1937) et L’École des cadavres (1938).

Le 4 septembre 1941, le journal Notre combat pour la nouvelle France socialiste publie un article intitulé « Céline nous parle des Juifs » ; Céline y déclare : « Pleurer, c’est le triomphe des Juifs ! Réussit admirablement ! Le monde à nous par les larmes ! 20 millions de martyrs bien entraînés c’est une force ! Les persécutés surgissent, hâves, blêmis, de la nuit des temps, des siècles de torture… »




Visitant l’exposition « Le Juif et la France », Céline reproche à Sézille d’avoir éliminé de la librairie de l’exposition Bagatelles pour un massacre et L’École des cadavres.

Durant cette période, Céline exprime ouvertement son soutien à l’Allemagne. Lorsque celle-ci entre en guerre contre l’Union soviétique, en juin 1941, il déclare : « Pour devenir collaborationniste, j’ai pas attendu que la Kommandantur pavoise au Crillon… On n’y pense pas assez à cette protection de la race blanche. C’est maintenant qu’il faut agir, parce que demain il sera trop tard. […] Doriot s’est comporté comme il l’a toujours fait. C’est un homme… il faut travailler, militer avec Doriot. […] Cette légion (la L.V.F.) si calomniée, si critiquée, c’est la preuve de la vie. […] Moi, je vous le dis, la Légion, c’est très bien, c’est tout ce qu’il y a de bien. »

Il publie alors Les Beaux Draps, son troisième et dernier pamphlet antisémite (Nouvelles éditions françaises, février 1941).

Après le débarquement du 6 juin 1944, Céline, craignant pour sa vie, quitte la France le 14 juin 1944 et se retrouve d’abord à Baden-Baden, en Allemagne, avant de partir pour Berlin.

Le 22 mars 1945, il quitte Sigmaringen pour le Danemark, occupé par les Allemands, afin de récupérer son or, qui y est conservé.

Il vit au Danemark près d’une année et demie en prison, et plus de quatre ans dans une maison au confort rudimentaire près de la mer Baltique, tandis qu’il est boycotté par le monde littéraire français.

Le 21 février 1950, dans le cadre de l’épuration, il est condamné définitivement par contumace par la chambre civile de Paris pour collaboration selon l’article 83 (pour « actes de nature à nuire à la défense nationale ») — et non l’article 75 (pour « intelligence avec l’ennemi et de trahison »)—, à une année d’emprisonnement, 50 000 francs d’amende, la confiscation de la moitié de ses biens et à l’indignité nationale.




Le 20 avril 1951, Tixier-Vignancour, son avocat depuis 1948, obtient l’amnistie de Céline au titre de « grand invalide de guerre » en présentant son dossier sous le nom de Louis-Ferdinand Destouches sans qu’aucun magistrat fasse le rapprochement.

De retour de Copenhague l’été suivant, Céline et son épouse – ils sont mariés le 15 février 1943 à Paris– Lucette (née Lucie Almanzor, le 20 juillet 1912 à Paris) s’installent chez des amis à Nice en juillet 1951. Son éditeur Robert Denoël ayant été assassiné en 1945, il signe le même mois un contrat de cinq millions de francs avec Gaston Gallimard (il lui a demandé 18 % de droits d’auteur) pour la publication de Féerie pour une autre fois, la réédition de Voyage au bout de la nuit, de Mort à crédit et d’autres ouvrages.

En octobre de la même année le couple s’installe dans un pavillon vétuste, route des Gardes, à Meudon, dans les Hauts-de-Seine (à l’époque, département de la Seine-et-Oise). Inscrit à l’Ordre des médecins, le Docteur L.-F. Destouches, docteur en médecine de la Faculté de Paris accroche une plaque professionnelle au grillage qui enclot la propriété, ainsi qu’une plaque pour Lucette Almanzor qui annonce les cours de danse classique et de caractère que son épouse donne dans le pavillon. Il vit pendant plusieurs années des avances de Gallimard jusqu’à ce qu’il renoue avec le succès, à partir de 1957, grâce à sa « Trilogie allemande », dans laquelle il romance son exil.

Publiés successivement et séparément, D’un château l’autre (1957), Nord (1960) et Rigodon (1969) forment en réalité trois volets d’un seul roman. Céline s’y met personnellement en scène comme personnage et comme narrateur.

Louis-Ferdinand Destouches meurt à son domicile de Meudon le 1er juillet 1961.

Il est enterré au cimetière des Longs-Réages, à Meudon.


 
Old July 9th, 2014 #9
alex revision
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Louis-Ferdinand Céline à l’assaut du cinéma juif

Pour vous divertir, nous vous proposons un court extrait de l’excellent livre Bagatelles pour un massacre (1937) de Louis-Ferdinand Céline dont une version numérique est disponible ici, ici, ou .



Toutes ces merveilles illuminantes ne vont pas plus loin que l’Aryen, toutes ces vérités: pour l’Aryen… analyse de l’Aryen… pulvérisation de l’Aryen! jamais du Juif! Tous les films juifs sont farcis d’outrages pour l’Aryen, toujours de flatteries pour le Juif. C’est la règle… Examinez de près, chers cocus… comme tous les Marxs, ces Chaplins, ces Cantors… etc…, se foutent de notre pauvre tranche. Si l’on nous montre un petit Juif quelque part au théâtre… dans un film… au music-hall (tous les music-halls sont entièrement juifs) en tant que juif, “juif avoué”, alors pariez à coup sûr! On vous le servira sous la forme idéaliste, infiniment! touchant illuminé! voire enjoué, spirituel, frémissant néo-petit jésus, voué corps et âme au rachat de nos dépravations infinies, de nos sanguignolents accès, de nos frénésies de pithécanthropes incurables, de massacreurs invétérés. Il s’offre… Brute! nous le lacérons!… Ton cul! Boule à merde! Jamais on ne nous le représente tel qu’il est le juif, en implacable petit choléra raciste polluant, relié par chaque filament de son être de larve juive à tous les maléfices de tous les âges et de tout l’univers… Et c’est ça qui me désespère. C’est celui-là précisément de petit Juif que je voulais voir à l’écran. Dans les films (tous juifs) tout le grotesque, le crime, l’imbécillité c’est pour nous, tout le beau rôle, la Gloire, la Finesse, l’Humour, la Bonté, la Beauté, l’Humanité, c’est pour les Juifs. Tout petit Juif, à sa naissance, trouve dans son berceau toutes les possibilités d’une jolie carrière de metteur en scène, de grand acteur, de grand rabbin, de grande salope, de grand banquier… Si quelque audacieux non-juif s’aventure dans le cinéma, il devra donner de ces preuves de servilité absolue… que ça relèvera du génie dans la brosse à reluire ?… s’il arrive à se faire tolérer, admettre, parmi les Juifs, il faudra qu’il en ajoute, tellement sans cesse et sans fin… de l’enjuivage qu’il se fasse enrouter si fort… si profondément! d’une maniére! qu’il s’ouvre!… super-ouvre les derrières!… pour les aimer tous à la fois!… Que ça sera pas commode!… Que ses films littéralement dégoulineront “d’idéolochie” messianique et d’humour super-tendancieux… S’il n’arrive pas à donner cent mille et cent mille autres preuves de limacerie éperdument gluante, très irréfutable, il n’ira pas à Hollywood! Il ne pourra jamais ramper jusqu’aux cimes de la carrière… Jamais il ne connaître Ben-Cameraman, le Suprêmissime en personne! le “Jérusalem vivant” d’aujourd’hui! dont nous adorons, Aryens, tous les Messages, par les miracles de la lumière… qu’il nous mande de bien rester à genoux …de prier… d’attendre… bien mignons dociles… Qu’on sera tous enfouraillés… qu’on en aura chacun son tour! qu’on en aura pour tout le monde… que c’est l’Hostie d’Hollywood… Jérusalem Ben Yiyi!… qu’en attendant on passe tout le pèze pour la quête… Qu’il pense à nous Ben Yiyi!… Qu’il est là-bas pour notre bonheur! qu’il est Dieu déjà!… qu’il nous mettra jusqu’au coeur!… Enfin toutes les espérances qu’on a besoin dans nos pots, si tristes… si vides..



Bagatelles pour un massacre, Louis-Ferdinand Céline
 
Old July 18th, 2014 #13
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La France n’est pas encore assez asservie !

La République maçonnique française n’est plus qu’une carambouillerie électorale très dégueulasse, une fantastique entreprise de duperie pour Français naïfs, brimés, saignés, escroqués cent et mille fois plus cruellement par les Juifs internationaux qu’ils ne furent jamais pendant 18 siècles par le pouvoir monarchique absolu.

La République maçonnique dévergondée, dite française, entièrement à la merci des sociétés secrètes et des Banques juives, (Rothschild, Lazare, Barush, etc…) entre en agonie.

Gangrenée plus qu’il n’est possible, elle se décompose par scandales. Ce ne sont plus que lambeaux purulents dont le Juif et son chien franc-maçon arrachent malgré tout chaque jour encore quelques nouvelles gâteries, bribes cadavériques, s’en bâfrent, bombance ! prospèrent, jubilent, exultent, délirent de charogneries.

Nous sommes parvenus de compromis en soumissions au stade pré-soviétique, stade frémissant, intensif, du Juif en complot, l’Heure de la Transe kabalique, où toute la youtrerie mondiale engage à fond toutes ses batteries, tous ses politiciens, toutes ses troupes militantes, journalistiques, bancaires à l’assaut des pouvoirs suprêmes, de toutes les commandes, de tous les échanges, prébendes, fauteuils, trafics, bénéfices, où l’on mate une bonne fois pour toutes l’indigène, lui rive à la mitraille, au sang, son carcan, toutes ses ferrures.

L’orgueil juif commande ! les soviets partout ! En langage clair : domination juive 100 pour 100. Cavalcade du Juif à ciel ouvert. Dépeçage, goinfrage de toutes les richesses de la Terre Promise, la nôtre ! conquise, asservie. Énorme partouze d’assassinats. Grands massacres d’indigènes bien crétinisés, saoulés, effondrés, au préalable, par le mondial, inimaginable, irrésistiblement hypnotique baratinage juif. Le Processus est infaillible.

Voir : Bela Kuhn – Hongrie : Rosenberg – Espagne ; Trotzky – Russie ; etc… Blum en France. Le programme éternel juif.

Pour ce qui concerne la France, ostentation bien superflue puisque les Juifs possèdent déjà toute la puissance. Banques, Industries, Ministères, Commerce, Loges… Tous les leviers, tous les profits, tous les privilèges, toutes les immunités, toutes les cartes blanches. Simple surcroît de pavanerie négroïde. Afro-vanité. Tam-tam. Cet État français judéo-maçonnique constitue bien la plus ignoble escroquerie du Patriotisme que l’on puisse rêver.

Nous sommes, Français de souche, asservis, brimés, opprimés, cocufiés, dépouillés, minimisés, ridiculisés, à chaud, à vif, autant qu’il se peut, admirablement, implacablement, frénétiquement, trahis il faut ajouter, minutieusement, perpétuellement, inlassablement, par nos frères de race arrivistes, les francs-maçons, chiens volontaires des Juifs, goinfreurs, en toutes poubelles, en tous déchets juifs, meute à la curée, à la ripaille de toutes les gangrènes d’agonie, éperdus au sifflet des juifs. Les loges détiennent tous les pouvoirs.

Les Youtres n’ont qu’à se servir. Aucune résistance. Ils s’installent, exploitent, rançonnent en définitive où ils veulent, comme ils veulent, où leur caprice les chatouille. Ils nous enculent, si telle fredaine les anime, publiquement, très impunément. Auriez-vous rêvé d’un négrite Maître de l’Instruction Publique ? Vous l’avez. En voulez-vous un autre, maître de nos Colonies ? Vous l’avez ! Juste retour des choses ! Demain Président du Conseil, ordonnateur de nos abattoirs (Il le fut déjà).

La Haute Juiverie s’amuse de savoir à quel point l’on peut nous avilir, nous faire ramper, avaler des couleuvres, des hontes, des glaviots.

Je trouve, pour ma part, que les Juifs n’en feront jamais assez. Je voudrais qu’il soit décrété une bonne fois, définitivement, que toutes les Grandes Écoles, les Grands Corps de l’État, Académies, Polytechniques, Internats, Électorats, Hôpitaux, Radios, Théâtres subventionnés, Théâtres ordinaires, Banque de France, sont absolument réservés aux Juifs (comme en U.R.S.S.) et strictement interdits aux Goyes. Dans la pratique évidemment, c’est déjà bien entendu. Mais enfin la chose n’est pas encore officielle et ça me choque. L’exclusive contre l’indigène doit être prononcée officiellement.

Il est temps. Tout ce qui commande, tout ce qui émine, reluit, ordonne, enseigne doit être en France, à partir de ce jour, strictement juif. C’est tout. Ce serait absolument loyale constatation d’un état de fait qui crève les yeux. Ce décret officiellement pris, l’indigène se le tiendrait pour dit, plus de paroles, plus de démarches inutiles, il se cantonnerait strictement, une bonne fois pour toutes, dans les fonctions de son mérite, aux Abattoirs ou dans la merde.

Louis-Ferdinand Céline – L’école des cadavres (1938)
 
Old September 4th, 2014 #14
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Les dernières années de la IIIe République sont marquées en France par une crise aigüe des institutions, qu'aggrava la crise économique des années 30. Le personnel politique médiocre, l'instabilité des gouvernements jettent un discrédit profond sur la démocratie représentative (circonstances que l'on peut rapprocher avec aujourd'hui !).


Céline ne manque pas de virulence dans ses attaques à l'égard de la société démocratique. Il réduit - de manière pertinente - la mystique des démocraties, à une formule péremptoire : "Boyaux avides prolétaires contre boyaux contractés bourgeois". L'idéal démocratique est devenu matérialiste, un égal souci animant les classes sociales : le souci du confortable. La bourgeoisie vit dans la crainte de perdre ses privilèges, le peuple ne pense qu'à s'emparer des avantages de son idole rationnelle, de son "dieu fait bourgeois". Le moteur des démocraties est l'intérêt : les conflits qui y règnent sont des conflits d'égoïsme ; l'esprit de sacrifice est abandonné au profit de l'esprit de lucre, de gain :

"Ils hypnotisent la horde des "désirants", aspirants effrénés, bulleux "d'avantages". Pour l'adoption d'un parti, d'un programme, c'est comme pour le choix d'un article au moment des "réclames", on se décide pour le magasin qui vous promet le plus "d'avantages"".
L’École des cadavres


Le démocrate revendique. Il ne sait faire que cela. Il revendique au nom de ses droits. C'est un programme d'insatisfaction perpétuelle, une mystique des récriminations. Parce qu'en régime démocratique, le pays se soucie plus de droits que de devoirs, il entre lentement en décadence : "Un pays ça finit en "droits", en droits suprêmes, en droits à rien, en droits à tout, en droits de jaloux, en droits de famine, en droits de vent".
Les beaux draps


L'égalité des races, la haine des "préjugés nationaux", l'abolition des privilèges, la marche du progrès, Céline les traite de "bobards démocratiques". On a tenté de les élever au rang de mystiques nationales, ce ne sont que des formules creuses destinées à faire renier par le peuple sa tradition, ses exigences réelles. Quant à certains mécanismes de la démocratie représentative : suffrage universel, loi de la majorité, Céline les raille et les méprise. Il explique à sa façon les résultats du suffrage universel, clamant bien haut qu'il n'a jamais voté de sa vie : "J'ai toujours su et compris que les cons sont la majorité, que c'est donc bien forcé qu'ils gagnent...!"
Bagatelles pour un massacre


Les élections elles-mêmes ne sont pour lui que des transactions assez sordides : "Élection égal Baratin, égal achat des ahuris, égal flagornerie des foules..., égal noyade en vinasses, égal Grande Presse et Ratata... égal Parlement de Laquais, commissionnaires de cantons, laquais d'enchères... laquais de tout ce qu'on voudra..."
Les beaux draps


Les idées politiques de Louis-Ferdinand Céline, Jacqueline Morand
 
Old May 26th, 2015 #16
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27 mai 1894 : naissance de Louis Ferdinand Céline



Louis-Ferdinand Céline allongé sur son lit à l'époque de son incarcération au Danemark. Mai 1947.


La fameuse "soziolochie" égalisatrice, civilisatrice, fraternisatrice, annoncée à coups de tonnerres et d'éclairs à la porte de toutes les satrapies juives : U.R.S.S., Hongrie, Barcelone, Mexique (toutes banqueroutières) ce sont les peuples du Fascisme qui l'appliquent chez eux entre Aryens, contre les Juifs et la Maçonnerie.

Qui a mis Rothschild en caisse ? c'est pas Daladier, c'est Hitler.

Quant à l'Ère nouvelle, l'Humanité marxiste tellement "renaissante", toute cette subterfugerie verbeuse s'est très vite déterminée en extraordinaires saturnales, déchiquetages, empaleries d'Aryens, massacreries insurpassables, tueries geôlières, tortures tartares, écorcheries de tout ce qui n'était pas juif, ne pensait pas juif.

Qui a fait le plus pour l'ouvrier ? c'est pas Staline, c'est Hitler.

Toutes les guerres, toutes les révolutions, ne sont en définitive que des pogroms d'Aryens organisés par les Juifs. Le Juif négroïde bousilleur, parasite tintamarrant, crétino-virulent parodiste, s'est toujours démontré foutrement incapable de civiliser le plus minime canton de ses propres pouilleries syriaques. Quinze paillotes abrahamiques au rebord du désert suffisent, tellement fantastique est leur pestilence, damnation, contamination, à rendre toute l'Afrique et toute l'Europe inhabitables.

Et voici cependant le sapajou funeste que nous supplions à grands cris de recréer tous nos États, de fond en comble, nos traditions, nos vices, nos vertus, nos âmes. Pourquoi n'irions-nous pas demander tout de suite à l'hyène rigoleuse du Zoo ses recettes d'idéalisme? Au crotale ses dévouements ? au rat d'égouts ses mystiques ?

Les Juifs, racialement, sont des monstres, des hybrides loupés, tiraillés, qui doivent disparaître. Tout ce qu'ils trafiquent, tout ce qu'ils manigancent est maudit. Dans l'élevage humain, ce ne sont, tout bluff à part, que bâtards gangreneux, ravageurs, pourrisseurs. Le Juif n'a jamais été persécuté par les Aryens. Il s'est persécuté lui-même. Il est le damné de sa propre substance, des tiraillements de sa viande d'hybride. D'où cet état de plastronnage perpétuel, de dervicherie compensatrice, cette arrogance, cet extravagant culot, cette jactance, saoulante, cette effronterie brailleuse, si dégueulasse, si répugnante.

Bien sûr qu'il n'y peut rien, qu'il est irresponsable. C'est pas tout de même une raison pour que nous on s'en fasse crever, de ses tares, de ces malfaçons. Ça serait vraiment trop de complaisances. Il faut tout dire.

Louis-Ferdinand Céline

L'École des cadavres, p. 99/100
 
Old August 30th, 2015 #17
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Michel Audiard à propos de Gabin, de Céline et des Juifs

Michel Audiard, Céline et les Juifs

Céline et vous, c’est toujours le grand amour ?

M.A. / Alors là, toujours. (…) Le cas Céline est très simple : il y a ceux qui avouent avoir été influencés et ceux qui ne l’avouent pas. C’est tout. Mais ce qui est certain, c’est qu’on écrivait autrement la veille. (…) Même la Série noire est inspirée de Céline. Parce qu’on écrivait pas de cette façon avant. On n’employait pas les mêmes mots. (…) On a oublié que les fameux écrits antisémites qu’on lui a tant reprochés ont été écrits bien avant la guerre. Donc, avant l’occupation. Alors, pourquoi cette hargne ? Jusqu’à plus ample informé, on avait bien le droit d’être anti-maçon ou antisémite. Si on n’avait pas pu, il fallait le dire. Fallait le faire savoir: « Il est interdit d’être antisémite, sous peine de prison ». Alors, il aurait été arrêté. Mais il fallait prévenir. On a donc été de mauvaise foi avec Céline.

Mais où je m’insurge aussi, c’est au moment où les avocats et défenseurs de Ferdinand disent qu’il n’a jamais été antisémite. Alors là, c’est de la connerie. C’est idiot. Cela ne le diminue en rien, bien au contraire. (…) Car finalement, au milieu de cette apocalypse qu’il nous a proposée, la seule chose qu’on retient contre lui, c’est son antisémitisme. Il avait le droit de dire du mal de tout le monde sauf du Juif. Alors là, le Juif nous casse les couilles et vous pouvez l’écrire en toutes lettres.


http://www.medias-presse.info/michel...es-juifs/37737
 
Old May 26th, 2016 #18
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27 mai 1894 : naissance de Louis-Ferdinand Céline

 
Old August 27th, 2016 #19
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Louis-Ferdinand CÉLINE : Entretien avec Robert SADOUL (1955)

La toute première interview radiophonique de CÉLINE qui s'entretient avec Robert SADOUL pour la Radio Suisse-Romande en mars 1955. Un échange qui sera publié en 1990 dans le Magazine Littéraire n°280. Le texte est reproduit intégralement dans les "Cahiers Céline 7, Céline et l'actualité littéraire 1933-1961".
 
Old December 6th, 2017 #20
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La réédition des pamphlets antisémites de Céline “n'est pas une bonne idée”

En mai 2018, la maison d'édition Gallimard rééditera les pamphlets antisémites de Louis-Ferdinand Céline, dans un volume, Écrits polémiques, qui rassemblera Bagatelles pour un massacre, L'École des cadavres et Les Beaux draps. Bien entendu, l'éditeur a annoncé un appareil critique et une préface de Pierre Assouline, mais, pour le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), cette réédition n'est rien d'autre qu'une réhabilitation des idées nauséabondes de l'auteur de Voyage au bout de la nuit.

https://www.actualitte.com/article/m...nne-idee/86207
 
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