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Old November 14th, 2018 #21
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Johann Rattenhuber

l'Ange gardien du Führer

Paul-Louis Beaujour

De 1933 à 1945, Johann Rattenhuber fut le chef incontesté du Reichssicherheitsdienst (RSD), le « Service de Sécurité du Reich » créé par Heinrich Himmler en 1933. En tant que tel, il fut responsable de la sécurité de toutes les personnalités du régime, et en premier lieu, bien évidemment, de celle du Führer.

Le capitaine de police et général SS Rattenhuber coiffait même de son autorité le très médiatique SS-Begleitkommando (la « garde très rapprochée » d’Adolf Hitler) fondé par « Sepp » Dietrich.

Rattenhuber, qui, dans les tréfonds du bunker, sera présent au côté d’Hitler jusqu’à la fin, paiera sa fidélité indéfectible à son chef par dix ans de camps soviétiques dont il sortira en 1955 totalement anéanti.

Curieusement, jusqu’à ce jour, aucune biographie de ce personnage discret, affable, et surtout d’une grande fiabilité, n’avait été entreprise.

Pourtant, le RSD fut plutôt efficace puisque sur la trentaine (!) de tentatives d’attentats recensées sur la personne du Führer, une seule, celle du 20 juillet 1944, l’a véritablement blessé physiquement. D’autres Secret Service plus récents n’ont pas eu d’aussi bonnes statistiques…

Paul-Louis Beaujour, qui se passionne pour les « seconds couteaux » et les « oubliés » de l’Histoire (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest), nous livre la première biographie en langue française de « l’Ange gardien » du Führer.

 
Old December 14th, 2018 #22
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Georges Valois

Le Fascisme

Ce livre, publié pour la première fois en 1927, fut écrit peu de temps après que son auteur, Georges Valois, ex-anarchiste et ex-monarchiste d’Action française, ait fondé Le Faisceau qui fut la première organisation fasciste française.

À sa lecture, on découvre que les membres du Faisceaux se considéraient comme les seuls vrais disciples de Maurice Barrès et comme les héritiers des révolutionnaires de 1789 !

Pour l’universitaire Jean-Maurice Duval le fascisme valoisien fut un « fascisme météore », un « fascisme de laboratoire », un « fascisme de gauche », un « fascisme que l’on pourrait dire utopique », comparable à certaines expériences contemporaines des pays du tiers-monde « où des gouvernements, souvent militaires, hypernationalistes, anti-ploutocratiques (...), à volonté sociale, socialisante ou même socialiste, correspondent assez bien à la définition très large que Valois donne du fascisme : nationalisme et socialisme. »

Bien que publié il y a plus de quatre-vingt-dix ans, ce livre reste de ce fait, pour une grande partie de ses thèses, d’une étonnante actualité et sa lecture passionnera tant les chercheurs que les militants.

 
Old April 3rd, 2019 #23
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Combat pour Berlin

Joseph Goebbels

L’histoire du NSDAP au nord du Main ne commence qu’après son effondrement de 1923. Mais, dès ce moment, le national-socialisme se voit également adopte en Allemagne du Nord, avec toute la véhémence de la ténacité et de la discipline prussiennes.

Table des matières :

CHAPITRE PREMIER: ARRIVEE DANS LA CAPITALE

CHAPITRE II: LE MOUVEMENT A BERLIN

CHAPITRE III: MALGRE LA TERREUR

CHAPITRE IV: LE SA INCONNU

CHAPITRE V: SANGLANT ESSOR

CHAPITRE VI: L’INTERDICTION

CHAPITRE VII: BRIMADES POLICIERES

CHAPITRE VIII: DER ANGRIFF

CHAPITRE IX: LES FIDELES ET LES LACHES

CHAPITRE X: NUREMBERG 1927

CHAPITRE XI: LA CRISE SURMONTEE

CHAPITRE XII: INTERDIT... PAS MORT

250 p.

stock très limité

https://www.akribeia.fr/national-soc...ur-berlin.html


Le Mythe du XXe siècle

Alfred Rosenberg


562 p.

stock limité

https://www.akribeia.fr/national-soc...xe-siecle.html


Dites la vérité et vous humilierez le diable

Gerard Menuhin

Une bombe ! Écrit par le fils du grand violoniste juif Yehudi Menuhin, ce livre et son auteur ont subi les foudres de la communauté qui s’y voyait décrite. Un juif révisionniste ? Oui, et son analyse nous révèle bien des choses... Cette traduction française a failli ne pas exister, procurez-vous vite ce document exceptionnel tant que c’est encore possible !

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi le monde ne s’apaiserait jamais ? Pourquoi vos parents, vos grands-parents ou vos arrière-grands-parents ont dû mourir dans des guerres qui n’auraient jamais dû se produire en premier lieu ? Eh bien, ce livre apporte la réponse...

540 p.

stock limité

https://www.akribeia.fr/juifs-divers...le-diable.html

Qu'est-ce que le national-collectivisme?

Pierre Clémenti

Fils d’un facteur corse mort pour la France en 1915, François-Antoine Clémenti dit Pierre Clémenti naît à Paris le 28 mai 1910. Il sera tout d’abord ouvrier métallurgiste, puis modeste employé de banque avant de devenir journaliste au sein du journal La République.

D’abord sensible aux idées de gauche, c’est à la suite des événements du 6 mai 1934 qu’il créé le Parti Français national-communiste avec l’aide de Maurice Maurer et Mathieu Degeilh, ainsi qu’un journal Le Pays libre qui paraîtra de 1936 à 1937.

En 1939 après la diffusion d’un tract intitulé La guerre ? Pourquoi ? il est arrêté pour « pacifisme » et « propagande antisémite », et purge une peine de 92 jours de prison, ce qui ne l’empêchera pas de prendre part à l’héroïque défense de la Loire en juin 1940 alors que le maréchal Pétain appelle à l’armistice. Il recevra d’ailleurs une citation. Mais contrairement aux nationaux-bolchéviques allemands (pour la plupart), Clémenti ne choisira pas la résistance…

À la suite de la défaite française, il rebaptise son mouvement Parti français national-collectiviste, le terme communiste ne convenant pas à l’occupant. Au sujet de la capitulation il déclare « ce n’est pas la France qui a été battue, mais la bande de salauds, de juifs et de capitalistes qui la dirigeaient ». Il se rapproche alors des Gardes françaises et du Jeune front » dirigé par Robert Hersant. Il sera en outre, via son ami Éric Labat, l’un des premiers chefs de mouvement à prendre contact avec Otto Abetz, ambassadeur allemand à Paris.

Il relance, en février 1941, Le Pays libre qui sera l’organe du parti jusqu’en octobre, puis un hebdomadaire de combat politique et social. À partir de mai 1942 Le Pays libre est édité à Lyon et redevient jusqu’en décembre l’organe du PFNC, puis celui des ouvriers patriotes et révolutionnaires en août 1943. La publication cessera définitivement le 13 août 1944.

Pierre Clémenti sera l’un des fondateurs de la Légion des volontaires français – il est membre du comité central à l’instar de Déat ou Doriot – en juillet 1941 et s’engage l’année suivante au mois de juin aux côtés d’Éric Labat, pour arriver sur le front en décembre. Il participe ainsi à la fin de l’opération Barbarossa en Pologne, et continuera de combattre jusqu’en 1943 sur le front de l’Est (compagnie d’état-major du 1er bataillon ou 2e section de la 1e compagnie à Denisowitschi) avec le grade d’aspirant. Il sera rapatrié sanitaire en 1943.

Après la chute du troisième Reich, il se réfugie en Allemagne puis en Italie et est condamné à mort par contumace le 29 juillet 1948. Il se constitue prisonnier en janvier 1953 mais bénéficiera d’une amnistie. Il n’abandonne pas pour autant son activité politique et publie en 1954 La Troisième paix, texte rédigé au lendemain de sa condamnation appelant à une réconciliation entre les anciens collaborateurs et les résistants de droite contre le communisme.

Enfin, il rejoindra le Nouvel Ordre européen, puis Ordre Nouveau avant de s’éteindre à Paris le 16 avril 1982.

68 p.

 
Old May 20th, 2019 #24
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Écrits révisionnistes (2016-2018) - tome IX

Robert Faurisson

Au sommaire : Apologies de meurtre chez Pascal Ory et Pierre Assouline. – Bradley Smith (1930-2016). – Serge Klarsfeld contre les outrances de son propre camp. – Martin Gray, marchand de faux en tous genres, est mort. – Lire et faire lire Morvan Duhamel ! – Élie Wiesel est mort. – F. Töben et R. Faurisson à propos de Fritz Berg. – Mémoire en défense contre ceux qui persistent à m’accuser de falsifier l’histoire… – Dieudonné renoue avec les chambres à gaz. – Honte à Raphaël Enthoven ! Honneur à Vincent Reynouard ! – Bruno Gollnisch pour l’abrogation de la loi Gayssot. – Marine Le Pen entre en campagne contre le révisionnisme. – Une vocation révisionniste. – Naïf bidouillage holocaustique. – Mon procès contre Ariane Chemin. – Texte du stupéfiant jugement rendu le 6 juin 2017 à mon encontre. – Sosotte Zigounette. – Un hommage à Ernst Zündel. – Max Gallo, le complice du faussaire Martin Gray, est mort. – L’extraordinaire aventure d’Ernst Zündel. – L’inéluctable victoire finale du révisionnisme. – La guillotine sèche de la République française. – Gerd Honsik. – Dix-neuvième anniversaire d’un crime caché. – Jean Bricmont à nouveau sur la censure. – Une quenelle d’or. – Le rapport de René Fabre sur la supposée « chambre à gaz » du Struthof. – Des nouvelles de Wolfgang Fröhlich. – Et bien d’autres textes.

https://www.akribeia.fr/histoire-cri...8-tome-ix.html


Le Mythe de l'extermination des Tsiganes

Carlo Mattogno

À en croire certains historiens, des centaines de milliers de Tsiganes auraient été exterminés sous le régime national-socialiste, en particulier à Auschwitz-Birkenau. Le révisionniste italien Carlo Mattogno examine dans le présent ouvrage la genèse et la finalité de la déportation des Tsiganes dans ce camp pour vérifier si, effectivement, ils furent envoyés en ce lieu pour être exterminés. Dans une seconde partie, Mattogno traite des « expériences » médicales que le médecin Josef Mengele auraient pratiquées sur les jumeaux au camp tsigane de Birkenau. En réalité, aucun document ne confirme les crimes supposés du Dr Mengele. Aucun document n’atteste que Mengele tua ou fit tuer un seul enfant. Le témoin central et unique de l’accusation n’est autre que Miklós Nyiszli, un affabulateur à l’imagination fertile. "Le Mythe de l’extermination des Tsiganes" est une nouvelle pierre apportée à l’édification d’une histoire vraie de la Seconde Guerre mondiale.


Au sommaire : Robert Faurisson : Mon révisionnisme littéraire (transcription du CD). – Germar Rudolf : Josef Mengele, la création d’un mythe. – R. Faurisson : Les autorités du IIIe Reich punissaient les crimes ou délits commis contre les juifs. – Andrea Carancini : Hommage à Fred Leuchter, présumé fanfaron et véritable ingénieur. – Jared Taylor : Les us et coutumes des nôtres – La diversité détruit la confiance – L’altruisme pathologique – La vérité sur Tuskegee – La folie d’envoyer les femmes au combat – Pourquoi je déteste le Super Bowl. – Philippe Baillet : À propos du racialisme incomplet de Jared Taylor. – Christophe Dolbeau : Weimar 1941-1942 : la Société européenne des écrivains. – Éric Delcroix : L’imbécile et le savant. Petite chronique post-mortem de la liberté de recherche, de pensée et de conscience en France.

https://www.akribeia.fr/histoire-cri...ou-vol-25.html


Devenir

Journal de combat de la communauté européenne, février 1944-juillet 1944

Cinq numéros en fac-similé. Avec les signatures de Joseph Darnand, Franz Riedweg, Philippe Merlin, Thorwald Knudsen, Jean Balestre, Marc Augier, Lucien Rebatet, Maurice-Ivan Sicard, Sepp Strobach, etc. Grand format.

 
Old June 6th, 2019 #25
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Le Führer dans l’intimité (1925-1945)

(Le Führer et son image, tome 3)

Bernard Plouvier


S’il fallait en croire divers auteurs inspirés par la haine ou perdus dans les nuées psychanalytiques, Adolf Hitler serait un monstre, passé d’une liaison incestueuse avec sa maman à une intense sexualité de type sadomasochiste – à forte tonalité stercorale, ce qui renseigne a contrario sur les fantasmes des littérateurs –, sans oublier, bien sûr, d’insister sur sa cruauté pour les animaux, humains ou non.

Manifestement, ces poètes de l’écriture, nouveaux Homère de l’ordure, confondent la famille Hitler avec la si pittoresque famille Freud. Pour un public à la fois plus soucieux de réalité historique et moins typé, l’on propose des images qui ont le mérite de l’authenticité.

Elles révèlent un homme simple, plus souriant qu’on ne l’a prétendu, cherchant quelques moments de détente auprès d’amis ni snobs ni sophistiqués, ou se déridant au contact de ses compatriotes, voire de visiteurs étrangers. Certes, ce charmeur autrichien aimait conter fleurette aux jeunes et jolies femmes, mais on ne lui a connu que deux amours. L’un fut passionné, mais interdit par les lois de la génétique. L’autre fut empreint de tendresse et la jeune femme qui choisit de partager son destin en fut récompensée par un mariage in extremis. Rien de vulgaire ni même de scandaleux en tout cela. On comprend que les zélés serviteurs de la haine se soient mis à broder, pour compenser une réalité fort prosaïque.

 
Old November 18th, 2019 #26
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L’Album des Bobards. 10 ans de fake news des médias

Jean-Yves Le Gallou et Polemia (présentent)


Les grands médias aiment à dénoncer ce qu’ils appellent les « fakes News », ce qu’ils considèrent comme les « fausses informations » émanant des réseaux sociaux. Ils pointent la paille dans l’œil du voisin mais se gardent de voir la poutre dans le leur. Car les mensonges répétés en boucle par les grands médias sont innombrables. Chaque année la cérémonie parodique des Bobards d’or récompense les plus saillants. Souvenez-vous. Theo, la racaille mythomane prétendument violée par des policiers. « L’ophtalmo raciste » accusé indûment d’avoir refusé de soigner une enfant arabe. Le journaliste américain James Folley soi-disant enlevé par Assad et retrouvé égorgé par les islamistes. Les chiffres de participants gonflés pour les manifestations LGBTQ et… dégonflé pour les opérations politiquement incorrectes. L’Album des bobards, bien sourcé et joliment illustré, vous fait découvrir plus de 100 gros mensonges médiatiques. Il décrypte les principales méthodes de désinformation : Bobards par l’image, bobard calculette, bobard par invention et non vérification des sources, bobard par changement de nom et de prénom. Il présente aussi les auteurs de ces bobards. Fidèle à l’esprit de la cérémonie des Bobards d’or, L’Album des Bobards vise à corriger par le rire les principaux travers des journalistes. Un livre aussi indispensable qu’amusant !

 
Old February 17th, 2020 #27
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Les Soins de santé à Auschwitz

Traitement médical et traitement spécial des détenus immatriculés

Carlo Mattogno


https://www.akribeia.fr/histoire-cri...auschwitz.html
 
Old May 29th, 2020 #28
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Auschwitz dans les interceptions britanniques

Carlo Mattogno


Nous savons aujourd’hui que les services de renseignement britanniques furent en mesure d’écouter quasiment toutes les communications radio de l’armée allemande, de la police allemande, du SD et de la SS tout au long de la Seconde Guerre mondiale. Les Britanniques avaient ainsi des informations fiables sur ce qui se passait sur les arrières du front russe, mais également sur les événements qui se déroulaient dans les camps de concentration. […]

 
Old November 11th, 2020 #29
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Les Confessions de Kurt Gerstein

Étude comparative des différentes versions

Henri Roques

Préface d'André Chelain


Henri Roques (1920-2014) était un honorable retraité, vivant dans la banlieue parisienne, qui défraya la chronique en soutenant avec succès une thèse de littérature comparée et de critique de textes devant un jury de l’université de Nantes. La teneur et les conclusions de cette thèse firent scandale dans les médias. Du jour au lendemain, Henri Roques occupa la première page des journaux, déclenchant une vaste polémique qui conduisit les autorités universitaires et le ministère de l’Éducation à prendre des mesures énergiques à la demande de ceux qui s’estimaient offensés par les conséquences que pourraient avoir les conclusions de la thèse dans l’opinion publique mondiale. Étrange affaire qui mit le monde entier en émoi. Qu’en est-il exactement? Quelle est la nature réelle des travaux universitaires d’Henri Roques? Quels sont les points de vue des différentes parties présentes dans cette affaire? On trouvera dans la troisième édition de cet ouvrage, enrichie de quelques nouvelles annexes (au total 150 pages d’annexes qui ne figuraient pas dans le texte original de la thèse de Roques), les principales pièces du dossier qui permettront aux lecteurs de se forger une opinion. À noter un additif qui résout l’énigme du « mystérieux visiteur » de Paul Rassinier en «juin 1963».



Ils nient l'histoire ?

Réfutation d’un ouvrage antirévisionniste et de sa fausse «convergence des preuves»

Carlo Mattogno


En l’an 2000 parut aux États-Unis un ouvrage (Denying History. Who Says the Holocaust Never Happened and Why Do They Say It?) qui nourrissait de grandes ambitions. Il s’agissait pour ses auteurs, Michael Shermer et Alex Grobman, de réfuter en détail les thèses et les arguments des révisionnistes, de proposer une analyse en profondeur de leur personnalité et de leurs motivations, et de montrer avec précision, preuves solides à l’appui, « comment nous savons que l’Holocauste a eu lieu ». Ce livre de Shermer et Grobman ne cesse d’être cité dans la littérature antirévisionniste et au-delà. C’est dire l’importance et l’intérêt de la présente étude. Le révisionniste italien Carlo Mattogno passe en effet ici en revue les principaux arguments des deux auteurs et apporte la preuve, page après page, du total amateurisme de ces historiens de rencontre.

 
Old March 16th, 2021 #30
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Articles de Je suis partout, 1941-1943

Robert Brasillach


Robert Brasillach était aussi un journaliste. Il a publié des articles de nature politique et critique dans un très grand nombre de revues et de journaux. Sa collaboration à l'hebdomadaire Je suis partout, qui deviendra l'organe du fascisme français, commença à partir du 28 novembre 1931. En bon disciple de Charles Maurras, chef de l'Action française, Brasillach journaliste prône le pacifisme au cours des années 1930. Son engagement en faveur du fascisme français date des émeutes du 6 février 1934. Dès 1937, les articles de Brasillach, rédacteur en chef de Je suis partout, déjà polémiques à l'époque du Front populaire, deviennent de plus en plus virulents, anti-républicains et pro-allemands, ce qui finit par le brouiller avec *Maurras, son ancien maître à penser. La débâcle de mai-juin 1940 fut un traumatisme pour lui. Prisonnier de guerre en Allemagne jusqu'en mars 1941, il rentrera en France pour reprendre son poste à Je suis partout. Il s'engagera dans la voie de la collaboration, mais démissionnera pourtant en août 1943, à la suite d'un différend idéologique avec les «ultras» de l'équipe. Les articles reproduits dans ce livre dénoncent la République, de Gaulle, les Alliés, les Juifs et les francs-maçons. Ils plaident aussi pour le retour rapide des prisonniers de guerre, la formation de la jeunesse et un fascisme français semblable aux fascismes européens. Par ailleurs, une admiration et, même, une sympathie pour les Allemands se font de plus en plus sentir à mesure que ces derniers commencent à perdre la guerre. Cette anthologie d'articles parus de 1941 à 1943 éclaire l'itinéraire tragique d'un des plus talentueux écrivains français qui, tout en se trompant sur certains enjeux politiques, resta sincèrement et essentiellement un patriote.



Le Svastika. Histoire d'un symbole

Jörg Lechler, Edwige Thibaut


Depuis 1945, le svastika, ou plus familièrement croix gammée, stigmatisé comme emblème politique, a finalement été interdit d'exposition dans la plupart des pays occidentaux. Mais avant qu'il n'acquiert cette sulfureuse réputation qui tend à l'éradiquer de la vue autant des mémoires, on a trop tendance à oublier qu'il fut employé par des cultures et des religions très diverses dès la plus haute antiquité.

Bien avant qu'Hitler ne vienne au pouvoir et n'en fasse sa marque de puissance, un historien et universitaire allemand, Jörg Lechler, a entrepris de retracer l'histoire de ce symbole qui suscitait déjà de nombreuses interrogations. Pour la première fois traduite en français, voici cette étude.

De son côté, Edwige Thibaut a voulu tenter d'apporter des réponses nécessaires aux mystères qui entourent encore l'origine, la diffusion et la signification si spécifique du svastika et qui en font le résumé d'une cosmologie, d'une vision du monde intégrale. Sa thèse, complémentaire de celle de Lechler, ne peut que l'enrichir.

Assorti d'une somptueuse iconographie, cet ouvrage s'inscrit dans une démarche culturelle, archéologique et religieuse. Il se tient loin des instrumentalisations politiciennes et de toute forme d'apologies quelconques, même s'il ne peut faire l'impasse sur une période historique très controversée.

De nos jours, près de deux milliards de personnes vénèrent et utilisent le svastika à des fins religieuses dans le monde. C'est à elles que ce livre est dédié. Il souhaite rendre justice à ce symbole afin que son usage traditionnel puisse perdurer. Signe de paix et de bonheur depuis la nuit des temps, puisse-t-il toujours demeurer tel.

 
Old May 12th, 2021 #31
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Tabou, vol. 26

Au sommaire : Christophe Dolbeau : Des Américains au service de l’Axe. – Tué par inadvertance… – Lee Richards : Rumeurs de guerre. [La diffusion de rumeurs par la Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale, en particulier à propos de maladies et de gaz toxiques, a-t-elle donné naissance aux « chambres à gaz » homicides du IIIe Reich ?] – Robert A. Graham : Le Vatican dans la guerre psychologique de l’Angleterre, 1939-1945. L’histoire des « sibs » ou « mensonges autorisés ». – Thomas Kues : Trois livres sur Treblinka. – James J. Weingartner : Trophées de guerre : les troupes américaines et la mutilation des Japonais morts au combat, 1941-1945. – Robert Hampton : Le piège de l’ «avant-garde révolutionnaire ». – Greg Johnson : Les différences irréconciliables : des arguments en faveur du divorce racial.



Raul Hilberg et les « centres de mise à mort » nationaux-socialistes

Les sources et la méthode d’un bien étrange historien

Carlo Mattogno


Le révisionniste italien Carlo Mattogno passe ici au crible le chapitre de La Destruction des Juifs d’Europe de Raul Hilberg consacré aux « centres de mise à mort ». Ce chapitre représente la quintessence de cet ouvrage, le but vers quoi il tend tout entier, qui le justifie et en est la raison d’être. La conclusion de l’analyse de Mattogno est impitoyable. Pour lui, Hilberg n’a jamais fourni aucun effort personnel de documentation dans son domaine de spécialisation. Il ne s’est absolument pas soucié de trouver d’éventuels documents sur les « centres de mise à mort » in loco, en Pologne ; il n’a même pas eu la curiosité de visiter des archives capitales, comme celles du musée d’Auschwitz, ou importantes, comme celles du musée de Lublin-Majdanek ou de Stutthof, ni d’inspecter les lieux : il s’est borné à produire un pâle résumé de la littérature exterminationniste et mémorielle de l’époque.

https://www.akribeia.fr/histoire-cri...cialistes.html


Écrits révisionnistes (1993-1998), tome IV

Robert Faurisson


3e édition

Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.

 
Old November 19th, 2021 #32
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Les Rapports de la résistance polonaise sur les chambres à gaz d’Auschwitz (1941-1944)

Enrique Aynat

L’auteur a toujours été curieux de savoir quelles informations le gouvernement polonais en exil et le mouvement clandestin polonais à l’intérieur de la Pologne – la résistance – possédaient sur le camp de concentration allemand d’Auschwitz. Il a déjà consacré un travail à cette question. Il y indiquait que la résistance polonaise, et donc le gouvernement polonais en exil, savait ce qui se passait à l’intérieur d’Auschwitz. Les membres des différentes organisations de résistance étaient bien placés dans les centres névralgiques du camp de concentration, tels que le bureau central, l’hôpital, la direction des constructions, le bureau d’affectation des tâches et la section politique. Il est clair que la résistance ne pouvait ignorer les événements majeurs du camp, et en particulier la présumée extermination massive des Juifs.

Dans le présent ouvrage, l’intérêt du révisionniste espagnol Enrique Aynat s’est porté sur l’étude des informations traitées par la résistance concernant le principal instrument avec lequel, prétendument, s’effectuait une telle extermination de masse : les chambres à gaz homicides.



Le Gouvernement polonais en exil et Auschwitz

Enrique Aynat


d’après le périodique Polish Fortnightly Review, 1940-1945


Le révisionniste espagnol Enrique Aynat a cherché à savoir comment avait pu réagir le gouvernement polonais en exil devant les gigantesques tueries de Juifs qui étaient censées se produire dans le camp de concentration d’Auschwitz. Il est parti de l’hypothèse selon laquelle, s’il s’était produit à Auschwitz un grand massacre de Juifs, le gouvernement polonais en exil aurait dû en avoir connaissance et, en conséquence, aurait réagi d’une manière ou d’une autre.

Le but que le révisionniste espagnol s’est proposé dans la présente étude a été de vérifier ce que publia sur Auschwitz le périodique Polish Fortnightly Review, organe du ministère de l’Intérieur du gouvernement polonais à Londres et principal véhicule de dissémination de la propagande polonaise en langue anglaise.

Au fil de son analyse, l’auteur a constaté que la Polish Fortnightly Review donna d’amples informations sur le camp de concentration d’Auschwitz, mais nullement dans le sens d’une liquidation de Juifs qui se serait produite là-bas et, parallèlement, elle fit fréquemment allusion à l’extermination de Juifs mais sans jamais dire qu’elle avait lieu à Auschwitz.

La réalité est que la Polish Fortnightly Review, qui pouvait savoir – et savait sans aucun doute – ce qui se passait à Auschwitz, s’est, de 1942 à mai 1945, abstenue de toute référence à une extermination de Juifs qui aurait été effectuée durant plus de trois années dans ce camp.



Mise à mort de deux innocents

Le Zyklon B, Auschwitz et le procès du Dr Bruno Tesch


William B. Lindsey

En 1923, le Dr Tesch créa, avec Paul Stabenow, la société Tesch und Stabenow, dont il deviendra par la suite l’unique propriétaire. Tesch und Stabenow était une entreprise de lutte contre les nuisibles, à l’image de celles qui existaient à la même époque aux États-Unis ou en Angleterre. Elle vendait avant tout ses services et son savoir-faire en matière de lutte contre la vermine. Elle ne fabriquait pas le Zyklon B ni les autres produits chimiques utilisés par son service de fumigation, mais les achetait auprès des usines spécialisées. Avant la guerre, l’entreprise du Dr Tesch connut un rapide essor, car il était désormais possible, grâce au Zyklon B, de désinfecter avec succès des bateaux entiers, des bâtiments, des maisons d’habitation, des salles de réfectoire, des baraquements, des moulins à grains, des silos, des voitures de chemin de fer, etc., sans abîmer leur contenu.

Après la Seconde Guerre mondiale, les autorités d’occupation alliées accusèrent le Dr Tesch et son directeur commercial délégué Karl Weinbacher d’avoir recommandé l’utilisation du Zyklon B et d’avoir livré en toute connaissance de cause ce produit mortel pour tuer plusieurs millions de Juifs à Auschwitz-Birkenau. Condamnés à mort par un tribunal militaire britannique, le Dr Bruno Tesch et Karl Weinbacher furent pendus à la prison de Hamelin (Allemagne), le 16 mai 1946. C’est le destin tragique de ces deux hommes que nous rappelle ici William B. Lindsey.



Traitement spécial à Auschwitz

Origine et signification d’une expression


Carlo Mattogno

S’il est incontestable que, dans nombre de documents du Troisième Reich, l’expression « traitement spécial » est synonyme d’exécution ou de liquidation, cela ne signifie pas qu’elle ait toujours et exclusivement eu ce sens. On dispose de documents dans lesquels le « traitement spécial » n’équivalait pas du tout à un assassinat, et d’autres encore où il désignait un « traitement de faveur ». Le « traitement spécial » des prisonniers de marque des états hostiles au Troisième Reich qui jouissaient d’un traitement princier dans des hôtels de luxe est par exemple bien connu.

Par ailleurs, il y a abondance de documents importants dans lesquels l’expression « traitement spécial » (ainsi que d’autres prétendus « termes codés » comme « mesures spéciales », « opération spéciale » ou « unité spéciale ») couvre toute une palette de significations variées, mais qui correspondent à des aspects parfaitement ordinaires de la vie au camp d’Auschwitz et ne renvoient jamais à l’assassinat d’êtres humains. La plupart de ces documents ne sont pas connus des chercheurs, et, quand ils le sont, la signification de leur contenu a été et est toujours gauchie par les représentants de l’historiographie exterminationniste.

Dans la présente étude, ces documents sont mis à la disposition du lecteur, analysés dans leur contexte historique et des recoupements sont effectués. Par ce moyen, le révisionniste italien Carlo Mattogno montre ce que les documents disent vraiment et non ce que révèlent le « déchiffrage » et l’interprétation mécanique de supposés « termes codés ». En réalité, le « traitement spécial » n’était aucunement un « mot de code » cachant l’indicible, mais plutôt un concept bureaucratique qui, en fonction du contexte, désignait des choses entièrement différentes, de la liquidation au traitement de faveur. Cette réalité contredit l’interprétation prônée par l’historiographie exterminationniste, à savoir que le « traitement spécial » aurait toujours et sans réserve aucune été synonyme d’assassinat.



Une allumette sur la banquise. Écrits de combat (1980-1992)

Serge Thion


Serge Thion avait rassemblé la matière de ce volume au début de 1990. Dix ans avaient passé depuis qu’il avait publié Vérité historique ou vérité politique ?, qui avait fourni à l’époque le premier dossier à peu près complet de l’affaire du révisionnisme. Il y décrivait comment était né ce qu’on appelle l’affaire Faurisson et examinait les sources disponibles concernant l’affaire dite des « chambres à gaz ». Il notait que la documentation fiable était restreinte et que nombre de témoignages soulevaient de graves questions. Il concluait en disant que cette période, comme n’importe quelle autre, devait désormais entrer dans le champ de la recherche historique et de ses méthodes établies. À cela s’ajoutait un dossier de textes dus au professeur Faurisson, afin que les lecteurs puissent se faire une opinion par eux-mêmes. Ce livre devait être difficilement contestable puisque, s’il a été largement vilipendé par une presse qui s’est gardée de rendre compte de son contenu, il n’a jamais été critiqué dans le détail, ni attaqué devant les tribunaux.

Dans les années qui suivirent, l’auteur continua à observer les déroulements de cette affaire, dans la presse et dans diverses publications. Il intervint plusieurs fois sur tel ou tel point. Il défendit un point de vue qui doit beaucoup à Rassinier et à une tradition libertaire où lui-même et beaucoup d’autres, dont la Vieille Taupe, s’abreuvèrent.

Le présent volume est composé de textes datés qui sont des analyses ou des réactions à tel événement ou tel personnage qui a voulu participer au débat, public ou privé. Serge Thion a ajouté à l’ensemble des textes qui devaient être publiés en 1990 quelques autres, en annexe, qui participent de la même volonté d’instaurer un espace de libre réflexion sur l’histoire et la politique de notre temps. L’auteur ne croit détenir aucune vérité particulière mais est sûr de son droit d’exercer un esprit critique auquel notre civilisation prétend reconnaître un rôle central. Ce droit est aussi celui des lecteurs à qui incombe d’examiner ses arguments, avant de les accepter, ou de les rejeter.



La Base antarctique d’Hitler. Mythe et réalité

Colin Summerhayes & Peter Beeching


En janvier-février 1939, une expédition allemande secrète se rendit sur la terre de la Reine-Maud, en Antarctique, apparemment dans l’intention, entre autres, d’y établir une base. Entre 1943 et 1945, les Britanniques lancèrent une opération secrète en Antarctique, sous le nom de code Tabarin. Il semblerait que des hommes du Special Air Services Regiment (SAS), les forces secrètes britanniques chargées d’opérer derrière les lignes, y aient participé. En juillet et août 1945, après la capitulation allemande, deux U-Boote arrivèrent en Argentine. S’étaient-ils rendus en Antarctique pour débarquer des trésors ou des fonctionnaires nazis ? Au cours de l’été austral de 1946-1947, la marine américaine semble avoir « envahi » l’Antarctique avec des forces importantes. L’opération, dont le nom de code était Highjump, fut classée confidentielle. En 1958, trois armes nucléaires explosèrent dans la région, dans le cadre d’une autre opération américaine classifiée, sous le nom de code Argus. Compte tenu du manque initial d’informations sur ces différentes activités, il n’est peut-être pas surprenant que certains les associent afin de bâtir un scénario dans lequel les gouvernements seraient accusés de supprimer les informations sur « ce qui s’est réellement passé » et utilisent ces informations pour construire le mythe d’une grande base allemande en Antarctique et des efforts alliés pour la détruire. En utilisant les connaissances de base sur l’Antarctique et les informations concernant ces activités qui ont été publiées depuis le début des années 1940, les auteurs font œuvre salutaire de démystification.

 
Old March 10th, 2022 #33
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Wewelsburg. Histoire d'un nouveau Montsalvat

Edwige Thibaut


L’ensemble du territoire culturel européen est parsemé de châteaux, citadelles, places fortes, forteresses, comme autant de marques d’un certain état d’esprit. Dans les légendes, les châteaux sont les centres d’un cheminement initiatique, d’un combat métaphysique. Dans la vie, ils sont des affirmations de culture, de pouvoir, des lieux de défense. Dans les deux cas, ils caractérisent un type d’hommes particulier : une aristocratie guerrière, exigeante, qui aime se mettre à l’épreuve dans les grandes ou les petites guerres saintes. Lorsqu’il visita Wewelsburg pour la première fois en 1933, Heinrich Himmler, chef de la SS, fit un rêve singulier : unir ces deux visions dans ce qui deviendrait le haut lieu de son futur Ordre militaire européen. Dès lors, pendant près de dix ans, le château fut restauré, repensé, métamorphosé. Il sera à la fois un espace de retraite, de commandement, de recherche culturelle et un centre de réflexion identitaire. Il s’affirmera microcosme d’une projection métapolitique prodigieuse empreinte de majesté de mystère et d’ombre terrible. Mais avant d’acquérir cette réputation politique devenue très sulfureuse, Wewelsburg a eu une autre histoire. Il appartenait déjà à un monde fourmillant de légendes et combats épiques, ponctué de sites à la sacralité se perdant dans le temps. De ce fait, pour tous les patriotes allemands, la Saxe-Westphalie où il se situe a fait figure d’emblème de résistance identitaire. Plus tard, des princes-évêques y installeront leur résidence. En s’appuyant sur des documents inédits et des découvertes récentes, ce livre nous raconte son histoire ainsi que celle de ses acteurs. Il nous expose les raisons qui ont présidé à son choix et décrypte l’univers des influences et des symboles qui l’imprègnent. Pour la première fois, il nous fait franchir le seuil du seul Ordensburg connu de la SS et analyse la nature du travail culturel qui y fut effectué. Ce faisant, il contribue à mettre fin aux affabulations et instrumentalisations venues de tous bords et rétablit Wewelsburg dans sa vérité première : celle d’un endroit enchanteur.

 
Old May 11th, 2022 #34
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Au cœur des Panzertruppen

Hans von Luck


Les mémoires de guerre de Hans von Luck, officier ayant servi dans les plus prestigieuses Panzer-Divisionen de 1939 à 1945, enfin accessibles en français ! Ayant combattu sur tous les fronts, des plaines du nord de la France en 1940, en passant par la Russie en 1941, la Libye et l’Égypte en 1942, ou encore la Normandie et l’Alsace en 1944, puis l’Allemagne en 1945, von Luck nous livre un récit haletant de son engagement, jusqu’à sa capture par les Soviétiques et ses années de goulag !


Maquis blancs

Olivier Pigoreau


De l’été de la Libération jusqu’au printemps 1945, les services spéciaux allemands ont mené sur le sol français une guerre secrète comparable à celle conduite entre 1940 et 1944 par les Alliés. Des centaines d’hommes et de femmes, militants du Parti populaire français de Doriot, miliciens et autres partisans de la cause du Reich réfugiés sur l’autre rive du Rhin ont été infiltrés dans notre pays, notamment par parachutages, afin de créer un mouvement de résistance qui mènerait la lutte contre les armées occidentales et saperait l’autorité du nouveau gouvernement. Dans les zones montagneuses, les ultras de la collaboration rêvaient de créer des « maquis blancs » et, partout ailleurs, de mettre sur pied des réseaux de renseignement et d’action. La formation des agents, leurs matériels et leurs missions : ce livre lève le voile sur une guerre restée inconnue.

https://www.akribeia.fr/occupation/2...is-blancs.html

La Libération de Dachau entre légende et réalité

Jürgen Zarusky

C’est dans l’après-midi du 29 avril 1945, un dimanche, que des soldats américains libérèrent le camp de concentration de Dachau, où environ 32 000 prisonniers de toute l’Europe étaient alors incarcérés. L’arrivée des Américains rendit la liberté aux captifs, les délivra de la faim et du typhus. Bien que la prise du camp par les Américains ne se soit pas réalisée sans quelques combats, ils ne subirent aucune perte, et tout se passa assez rapidement. Toutefois, nombre de SS encore présents dans le camp furent tués, une partie d’entre eux après qu’ils se furent rendus. Sur ces événements, les comptes rendus dont on dispose sont à maints égards contradictoires et confus. Lorsque, en 1986, l’ancien colonel et médecin militaire Howard A. Buechner publia son livre, Dachau : The Hour of the Avenger, il sembla fournir la confirmation irréfutable du massacre systématique, par des soldats américains, du détachement des gardiens du camp de Dachau. Buechner possédait en effet la double autorité de témoin oculaire et de membre des forces de libération. Jürgen Zarusky réexamine dans la présente étude les pièces du dossier avec le regard critique de l’historien.


Vérité historique ou vérité politique ?

Le dossier de l’affaire Faurisson. La question des chambres à gaz


Serge Thion


Voici un individu qui affirme que les chambres à gaz des camps de concentration allemands n’ont jamais existé, qu’elles sont essentiellement un mythe, né des horreurs de la guerre. Mais chose étrange, le fait divers s’enfle et prend des proportions inattendues. La presse, certains politiciens, certains historiens, la justice même, en font une « affaire ». On l’attaque, on le condamne, mais on ne lui répond pas. Pour qui veut d’abord comprendre ce qui s’est passé à cette époque sombre, le chemin ne sera pas sans surprises. Il faut avoir eu en main les éléments du dossier pour voir que, si la politique est satisfaite, l’histoire ne l’est pas. De cette histoire, que savons-nous, et comment le savons-nous ? Quelles sont les questions que nous pouvons nous poser ? Pour l’auteur, une seule certitude qu’il voudrait faire partager : la question n’est pas résolue !

https://www.akribeia.fr/histoire-cri...olitique-.html

Les Mensonges du musée d’Auschwitz

Altération de preuves, dénaturation de documents, raisonnements fallacieux


Carlo Mattogno

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le musée d’Auschwitz cherche désespérément à trouver des preuves documentaires pour étayer l’affirmation selon laquelle des personnes furent massacrées à Auschwitz dans d’immenses abattoirs chimiques appelés « chambres à gaz ». Ses responsables ont été totalement incapables d’y parvenir. Pourtant, ils continuent à prétendre le contraire, tout en ignorant délibérément toutes les publications qui réfutent leurs affirmations. Il est apparu à maintes reprises que les publications du musée sont truffées de traductions inexactes, de déformations, d’incohérences, de raisonnements erronés, de contradictions et d’absurdités. Le présent ouvrage est consacré à l’analyse dévastatrice, par l’historien révisionniste Carlo Mattogno, de l’une de ces publications. Cette étude est précédée d’un texte sur l’imposture de la chambre à gaz du crématoire I d’Auschwitz.


Au sommaire : Kerry Bolton : En défense des sans-défense. Les Américains qui s’opposèrent aux mauvais traitements infligés aux Allemands après la Seconde Guerre mondiale. – Frederick H. Gareau : Le plan de Morgenthau pour le désarmement industriel de l’Allemagne. – Christophe Dolbeau : La tragédie d’Abbeville et l’assassinat de Thierry de Ludre. – Jürgen Graf : David Irving et les « camps de l’opération Reinhardt ». – Panagiotis Heliotis : Personne n’a nié que c’est arrivé ? – Paul Grubach : Le conspirateur Wiesenthal, le témoignage d’Eichmann et l’Holocauste. La contribution de Deborah Lipstadt au révisionnisme de l’Holocauste. – Panagiotis Heliotis : La négation de l’Holocauste et du génocide : une perspective contextuelle.


Guerre

Céline


Parmi les manuscrits de Louis-Ferdinand Céline récemment retrouvés figurait une liasse de deux cent cinquante feuillets révélant un roman dont l’action se situe dans les Flandres durant la Grande Guerre. Avec la transcription de ce manuscrit de premier jet, écrit quelque deux ans après la parution de Voyage au bout de la nuit (1932), une pièce capitale de l’œuvre de l’écrivain est mise au jour. Car Céline, entre récit autobiographique et œuvre d’imagination, y lève le voile sur l’expérience centrale de son existence : le traumatisme physique et moral du front, dans l’ « abattoir international en folie ». On y suit la convalescence du brigadier Ferdinand depuis le moment où, gravement blessé, il reprend conscience sur le champ de bataille jusqu'à son départ pour Londres. À l’hôpital de Peurdu-sur-la-lys, objet de toutes les attentions d’une infirmière entreprenante, Ferdinand, s’étant lié d’amitié au souteneur Bébert, trompe la mort et s’affranchit du destin qui lui était jusqu’alors promis. Ce temps brutal de la désillusion et de la prise de conscience, que l’auteur n’avait jamais abordé sous la forme d’un récit littéraire autonome, apparaît ici dans sa lumière la plus crue. Vingt ans après 14, le passé, « toujours saoul d'oubli », prend des « petites mélodies en route qu’on lui demandait pas ». Mais il reste vivant, à jamais inoubliable, et Guerre en témoigne tout autant que la suite de l’œuvre de Céline.


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Old July 13th, 2022 #35
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Drakkars sur l’Amazone

Jacques de Mahieu


Jacques de Mahieu, Directeur de l’Institut des Sciences de l’Homme de Buenos-Aires, s’est fait tour à tour historien, ethnologue et archéologue pour raconter l’une des plus méconnues et des plus fantastiques aventures pionnières : la découverte de l’Amérique par les Vikings.

Au sud de l’Amazone, dans l’état brésilien du Piaui, Jacques de Mahieu a relevé et identifié les Sept-Villes, un lieu de culte qu’il attribue aux Vikings. À deux mille kilomètres à vol d’oiseau plus au sud, l’énorme figure d’un vieillard barbu, coiffé du casque ogival d’Odin, domine Rio de Janeiro.

L’inscription qu’elle porte – aujourd’hui enfin traduite – marque un jalon essentiel de la route maritime qui reliait l’embouchure de l’Amazone aux ports du Sud, vers lesquels les « chemins mœlleux » conduisaient les « Danois » de Tiahuanacu. Et dans l’intérieur du pays brésilien vivent encore des tribus d’Indiens « blancs », héritiers des lointains conquérants scandinaves…

 
Old November 11th, 2022 #36
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Auschwitz dans les rapports polonais et les témoignages (1941-1947)

Genèse et évolution de l’histoire des chambres à gaz

Carlo Mattogno


Les premiers groupes de résistance apparurent à Auschwitz dès la seconde moitié de 1940 et se multiplièrent dans les années qui suivirent. Ces groupes recevaient du dehors l’aide du mouvement de résistance polonais, qui s’articulait en plusieurs organisations, qui étaient en contact avec les détenus d’Auschwitz par l’intermédiaire d’ouvriers civils polonais employés dans le camp, dont elles recevaient des messages et des informations qu’elles transmettaient à la Delegatura, la représentation clandestine en Pologne occupée du gouvernement polonais en exil à Londres. La Delegatura était divisée en vingt services, dont le cinquième, le « Département de l’Information et de la Presse », était chargé de la collecte, du traitement et de la transmission à Londres des informations provenant des camps. Les historiens polonais ont étudié à fond tous ces aspects, mais le problème fondamental reste entier : que savaient en vérité les détenus sur l’extermination présumée des Juifs ? Et quelles étaient leurs véritables sources ? La présente étude vise à répondre à ces questions.

Dans un premier temps, l’auteur expose et commente les rapports fantaisistes de la résistance du camp et des détenus évadés avant la fin 1944, en retraçant les origines et les développements contradictoires de l’histoire des chambres à gaz d’Auschwitz. En règle générale, les sources sont examinées dans leur version originale, qui est la plupart du temps en polonais.

Il passe ensuite à l’étude des témoignages postérieurs à l’arrivée des Soviétiques à Auschwitz, ce jusqu’en 1947, année où se sont tenus, à Varsovie, le procès contre l’ancien commandant d’Auschwitz Rudolf Höss et, à Cracovie, celui de la garnison du camp. Ces procès forgèrent la version finale de l’histoire globale des chambres à gaz qui aura cours désormais. L’auteur examine enfin les premières tentatives visant à historiciser les fantasmes des résistants et analyse les efforts de certains historiens officiels pour justifier à tout prix des témoignages manifestement mensongers.

Le présent ouvrage de l’historien révisionniste Carlo Mattogno offre un ensemble très vaste de sources dont un nombre non négligeable de rapports et de témoignages ignorés à ce jour par l’historiographie exterminationniste.



Mon journal des temps de lutte et de victoire

Roberto Farinacci


Roberto Farinacci, dit « le Ras de Crémone », fut un des fondateurs des Faisceaux italiens de combat et leur organisateur dans le Nord de l’Italie. Son Journal des temps de lutte et de victoire, que l’on peut comparer à Combat pour Berlin de Joseph Goebbels relate l’action qu’il mena de la réunion fondatrice des Faisceaux, place du Saint Sépulcre à Milan, jusqu’à la Marche sur Rome contre les rouges et pour la grandeur de l’Italie. À ce titre, c’est un document historique important qui était cependant, jusqu’à maintenant, resté inédit en français.



C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit

Alfred Leverrier


Alfred Caton dit Alfred Leverrier intégra le 1er contingent de la L.V.F. en 1941. Il fut chargé de la propagande (Sonderführer) en 1943 au sein du IIe bataillon, ainsi que correspondant de guerre au Combattant européen et à La Gerbe d'Alphonse de Chateaubriant. Muté à la Charlemagne il sera le prisonnier des Américains avant d'être « remis » à la France. Il fut interné en juillet-août 1945 à la caserne Carnot à Chalon-sur-Saône puis jugé en mars 1946. 
Ses souvenirs ont été écrits tardivement sans notes, ni carnet d’époque, ce qui explique que la première édition sortie aux éditions Arctic était rempli de confusions graves. Cette nouvelle version des souvenirs du légionnaire Leverrier a été revue et corrigée tout en gardant l’esprit d’origine. Ce parcours d’un légionnaire antibolchevique qui finira dans la célèbre division Charlemagne quelques années plus tard méritait bien une réédition, dorénavant plus complète et définitive, de par la richesse de son itinéraire et des anecdotes qui ont ponctué son engagement.
Dans un style alerte, il nous fait vivre sa vie de soldat dans les différents territoires de l'Est européen ainsi que ses rencontres avec Jacques Doriot, Robert Brasillach, Jean Fontenoy, Mgr Mayol de Lupé et bien d'autres encore!



Guérilla 3 - Le dernier combat

Laurent Obertone


La France traversait la pire crise de son histoire. Préparez-vous au dernier combat. Une banale descente dans une cité, des jeunes abattus par un policier. L'embrasement du pays et l'effondrement de l'Etat. Vingt-sept jours de survie plus tard, l'ordre semble enfin de retour, avec lui le média, le vice politique et citoyen, tandis que de larges zones du territoire sont encore privées de tout, et que certains refusent toujours de déposer les armes. Sous un intense conditionnement et l'impulsion de milices « citoyennes », la crise semble sous contrôle. En réalité, rien n'est réglé. Le pouvoir en sursis pourrait être violemment confronté à ses limites, et la France livrée à un chaos bien plus terrible encore. Au milieu de cette convulsion indécise, Gite, Escard, Danjou, la fillette et les autres, tous se préparent à jeter leurs dernières forces dans l'affrontement final. Voilà l'univers réduit à la terreur, et voici sonnée l'heure de la guerre totale. Après ses deux premiers tomes best-seller Le jour où tout s'embrasa et Le temps des barbares, Laurent Obertone poursuit son voyage au bout de l'enfer et conclut de manière magistrale sa saga Guerilla : celle de l'effondrement d'une nation.

 
Old May 16th, 2023 #37
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Combien de morts à Auschwitz ?

Robert Faurisson


Selon les historiens officiels (ceux que protègent les lois de la République française et le pouvoir médiatique), le nombre des morts à Auschwitz varie de 8 000 000 (c’est le chiffre de l’Office français de recherches des crimes de guerre et du Service français d’information des crimes de guerre en 1945) à un nombre compris entre 630 000 à 710 000 (c’est le chiffre avancé par Jean-Claude Pressac en 1994) ; selon ces historiens, ces personnes auraient été, pour la plupart, victimes d’une politique d’extermination physique. Mais, selon les auteurs révisionnistes, le nombre des morts serait de 150 000, pour la plupart victimes d’épidémies diverses et, en particulier, du typhus. Sous l’influence des auteurs révisionnistes, les historiens officiels en sont venus à pratiquer de si importantes révisions à la baisse qu’on ne comprend pas de quel droit on pourrait continuer en France d’imposer, par la force de la loi, tel ou tel chiffre. À elles seules, les deux inscriptions officielles portées successivement sur le monument d’Auschwitz-Birkenau, d’abord jusqu’en 1990, puis à partir de 1995, prennent aujourd’hui, sans qu’on l’ait voulu, valeur d’avertissement : elles rappellent que, ni en histoire ni ailleurs, il ne devrait exister de vérité officielle.

combien-de-morts-a-auschwitz-


Assassinats par le gaz à Auschwitz ?

Trente témoignages passés au crible


Jürgen Graf

L’histoire du tristement célèbre camp d’Auschwitz, telle qu’elle est perçue par le grand public, repose presque exclusivement sur ce qu’en ont rapporté des témoins des deux côtés de l’enceinte du camp. Les bibliothèques et les chaînes vidéo comme YouTube regorgent de récits à ce sujet. Mais dans quelle mesure ces récits sont-ils dignes de foi ? L’une des tâches les plus importantes de l’historien est la critique des sources, c’est-à-dire l’analyse critique des preuves sur lesquelles se fonde notre compréhension de l’histoire. Dans le cas de lieux comme Auschwitz, cela signifie qu’il faut déterminer dans quelle mesure les récits des témoins sont fiables, où les témoins ont pu se tromper, mentir pour telle ou telle raison ou, dans certains cas, ne pas avoir été des témoins du tout. Ce type de critique des sources examine les déclarations pour déterminer si elles sont cohérentes entre elles, si elles concordent avec d’autres déclarations, si elles sont confirmées par des documents de guerre et/ou si elles entrent en conflit avec des preuves matérielles. La présente étude applique cette technique à trente des témoins les plus connus ou les plus importants concernant Auschwitz, dont les anciens détenus Élie Wiesel, Rudolf Vrba, Filip Müller, Charles S. Bendel, Miklós Nyiszli et Olga Lengyel, ainsi que les anciens membres du personnel du camp SS Rudolf Höss, Pery Broad, Johann Paul Kremer, Hans Aumeier, Maximilian Grabner et Richard Böck. Graf reproduit les passages des déclarations de ces derniers où il est question d’exterminations massives à Auschwitz, et les soumet à une analyse objective et critique. Aucun autre chercheur n’a jamais accepté ce défi ingrat, car la critique de ceux qui affirment avoir été témoins d’une extermination d’êtres humains dans des « chambres à gaz » à Auschwitz est considérée comme un sacrilège. Il s’agit donc d’une étude importante et novatrice qui sera sans aucun doute suivie de beaucoup d’autres.


Au sommaire : un article de Greg Johnson, responsable du site américain Counter-Currents, à propos de certains actes de terrorisme auxquels se sont livrés ou se livrent des nationalistes blancs. On pense par exemple à la tuerie de masse perpétrée par Brenton Tarrant en Nouvelle-Zélande ou aux crimes similaires de Robert Bowers et Dylann Roof aux États-Unis. L’auteur s’efforce de montrer en quoi ce terrorisme nuit au nationalisme blanc et sert les ennemis de ce dernier. L’article qui suit, également de G. Johnson, prend position contre l’accélérationnisme, qui est l’idée selon laquelle le meilleur moyen d’atteindre les objectifs du nationalisme blanc est d’accélérer le déclin du système actuel. À cet égard, l’auteur pourrait faire sienne la formule bien connue de Charles Maurras : « La politique du pire est la pire des politiques. »

Le texte suivant, de Michele Presutto, est consacré à Mario Buda, une figure assez énigmatique de l’anarchisme terroriste. Buda est notamment « l’homme qui fit exploser Wall Street » lors d’un célèbre attentat de septembre 1920 qui provoqua la mort de plus de 30 personnes et près de 200 blessés. Il ne fut jamais jugé aux États-Unis pour cette action et pour de nombreuses autres. Il termina sa vie en Italie, non sans avoir été informateur pour le compte de la police politique de Mussolini. Un destin plutôt singulier.

Dans une longue étude en trois chapitres, l’historien révisionniste Carlo Mattogno revient sur l’origine du chiffre propagandiste de quatre millions de mort à Auschwitz-Birkenau. Il examine ensuite, pour le réfuter, un ouvrage de Franciszek Piper sur la mortalité à Auschwitz. Pour finir, il s’attarde sur les révisions numériques à la baisse opérées par Jean-Claude Pressac et l’Allemand Fritjof Meyer.

Nous publions également la première partie d’une longue étude de Thomas Kues sur les « preuves de la présence de Juifs “gazés” dans les territoires orientaux occupés ». Cette étude cherche à répondre, dans la mesure du possible, à la question si souvent posée aux révisionnistes : « Si les Juifs n’ont pas été gazés, où sont-ils passés ? »

Un article nécrologique signé d’Alexander Baron clôt ce riche volume de Tabou. Il est consacré à la figure controversée de Ray Hill (1939-2022), agent prétendument infiltré dans les milieux de la droite radicale au cours des années 1980. La réalité est légèrement différente.


Jusqu’à la chute

Mémoires du majordome d’Hitler


Heinz Linge


Le commandant SS Heinz Linge (1913-1980) fut, pendant dix ans, le majordome d’Adolf Hitler. Cet ancien maçon intègre les rangs militaires dès 1933 pour devenir dans un premier temps garde du corps. Il intègre peu à peu le cercle restreint de son maître, dont il est l’un des plus fidèles partisans. Voici enfin la traduction française de ses Mémoires, que les spécialistes considèrent comme un témoignage de premier ordre pour sa description de l’intime du Führer, petit bout de la lorgnette d’événements considérables au filtre des banalités de la vie domestique. Se révèlent au fil des pages la politique et la guerre ; le gouvernement et les loisirs ; les collègues de l’entourage direct et les dignitaires repus ; les quartiers généraux et la Chancellerie ; le cérémonial et la décontraction ; enfin, les voyages et les séjours au Berghof. Linge resta aux côtés d’Hitler jusqu’à la fin, réglant après son suicide l’opération d’escamotage de sa dépouille, qu’il sortira du bunker pour y mettre le feu. Il tenta ensuite de sauver sa peau, avec moins de succès : il est capturé par les Soviétiques. Commence alors la deuxième grande aventure de sa vie, celle-ci bien moins agréable et confortable. La documentation moscovite nous révèle ainsi qu’il fut un des grands témoins utilisés par les services de sécurité et le ministère de l’Intérieur Béria pour rédiger à l’attention de Staline un épais « dossier Hitler ». Présenté et commenté par Thierry Lentz, ce document exceptionnel entrera rapidement dans les bibliothèques de tous les amateurs des secrets du IIIe Reich.

 
Old January 16th, 2024 #38
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Les Musiciens maudits

Paul-Louis Beaujour





Beethoven, Bruckner, Egk, Graener, Lehár, Mozart, D’Olonne, Orff, Pfitzner, Schmitt, Strauss, Trapp, Wagner, Wolff ont le même point commun : ils ont tous été joués, encensés, voire célébrés durant les « années les plus sombres » (ALPS) de notre histoire, en particulier par le plus sombre (mais le plus mélomane ?) d’entre tous : Adolf Hitler. Quant à Furtwangler, Krauss, Jochum, Böhm, Karajan, Mengelberg, Abendroth, Schwarzkopf, Ney, Gieseking, Backhaus, Kempff, Lubin, Suthaus, Weber, Müller (et les autres), non seulement ils furent, à tort ou à raison, tous des partisans déclarés du iiie Reich, mais encore, et surtout, les interprètes inoubliables des compositeurs susnommés. Car c’est un fait indéniable : les versions unanimement considérées par les « musicologues » comme celles dites « de référence » sont souvent celles qui ont été interprétées par les artistes les plus idéologiquement « nauséabonds » ! C’est pourquoi Paul-Louis Beaujour a recensé une quarantaine de disques « de légende » encore disponibles (jusqu’à quand ?) que tout mélomane aussi politiquement incorrect qu’un brin nostalgique se doit de posséder dans sa discothèque.

 
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