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Old December 4th, 2020 #1
alex revision
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Faurisson : le révisionnisme gagnera-t-il un jour ?

4 décembre 2020

Jusqu’au bout, le professeur Faurisson se demandait si le révisionnisme pourrait gagner un jour. La réponse simple, c’est non, il y a un mur infranchissable, c’est le Reich qui a perdu la guerre, ceci n’est pas révisable : on ne gagne pas une guerre sur le tapis vert. Le problème ici et maintenant n’est d’ailleurs pas de savoir si le révisionnisme va l’emporter, c’est la disparition de l’homme blanc, le métissage et la submersion migratoire de l’Occident. Le professeur en convenait parfaitement, il se disait « ferré à glace » – c’était son expression – sur un sujet sur lequel il s’était – disait-il – encore plus penché que sur les chambres à gaz : la démographie et les migrations, et il concluait de lui-même : « Vichy-sur-Allier va bientôt s’appeler Vichy-sur-Tombouctou ou quelque chose comme ça »*.

Pourtant, il n’est pas absurde « de se demander si la victoire des révisionnistes est possible techniquement » « puisqu’elle est effectivement en train d’avoir lieu. », mais le problème, c’est que cette victoire n’est plus que technique, justement.

Tout ce que demande un Poutine aujourd’hui, c’est que les

« conclusions des procès de Nuremberg soient protégées par l’ONU, parce que ces conclusions sont aux fondements mêmes de l’ONU, à savoir : le Reich, de notoriété publique et de par son idéologie même, est coupable de crime de guerre, de crime contre la paix et de crime contre l’humanité ».

Tout l’échafaudage des éléments matériels et documentaires de la propagande noire peut maintenant s’écrouler, l’important, c’est que l’immeuble de l’ONU soit solidement érigé sur des fondements juridiquement protégés : les conclusions du TMi.

Le professeur Faurisson aura donc consacré toute sa vie à des sujets aussi noirs, sinistres et lugubres que les camps de concentration, les fosses communes, le typhus, le Zyklon B, les douches et les crématoires simplement pour faire tomber un échafaudage qui de toute façon ne sert plus à rien. Il reconnaissait bien volontiers qu’il a été difficile de vivre avec ces visions d’horreur, mais disait-il :

« c’est comme, vous savez, ces maladies sexuellement transmissibles, la syphilis : il faut nettoyer le chancre » **


Panorama d’un chancre


Nous proposons ci-dessous de parcourir ce chancre au travers d’une petite liste des personnalités à l’origine de cette propagande noire, la prédominance d’une certaine ethnie ne surprendra pas mais pourra corriger l’impression selon laquelle « le monde entier était contre le Reich », le « monde entier », c’était surtout eux, répartis aux commandes un peu partout en URSS, en France, en Angleterre, aux USA.

Bernard LECACHE

Né en 1895 à Paris au sein d’une famille juive originaire d’Ukraine il fonde en 1929 la Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme, il prônera le boycott des jeux olympiques de Berlin en 1939.

La LICA a mis en scène son premier spectacle après l’incendie du Reichstag à Berlin dans la nuit du 27 au 28 février 1933. Au centre de cette entreprise de propagande, on trouvait un avocat parisien aussi déplaisant que véreux : Moro-Giafferi. Dans la salle Wagram, il s’est lancé dans une diatribe haineuse qui se terminait par : « Göring, l’incendiaire, c’est toi ! » La propagande de haine par laquelle le monde sera amené à la guerre contre l’Allemagne venait de trouver son premier slogan.1

Vladimir JABOTINSKY

Comme Bernard Lecache, il est Juif ukrainien, né à Odessa en 1880, à eux deux, ils vont donner une visibilité mondiale à la LICA et faire de Paris un intense foyer de propagande antiallemande, Jabotinsky est un suprématiste Juif, à ce titre, il est à la fois pour la création d’Israël et pour la défaite de l’Allemagne.

Il entame sa « croisade anti-Hitler » de manière fracassante, le 28 avril 1933 avec un discours sur radio Varsovie dans lequel il appelait à un boycott mondial de l’Allemagne. Soixante-neuf grandes manifestations dans toutes les grandes villes d’Europe de l’Est suivirent les unes derrière les autres. Le 25 août 1933, il annonça lors d’une conférence de presse réunissant une centaine de participants, que son Parti révisionniste était le centre névralgique du boycott mondial de l’Allemagne.

Dans les mois qui suivirent, il y eut d’innombrables exhortations, articles, discours, dans le seul but était de monter l’opinion publique mondiale contre le fléau hitlérien et l’Allemagne et de lancer contre elle une guerre d’annihilation.

Samuel UNTERMYER

Avocat Juif New-Yorkais, le premier à avoir gagné un million de dollars en une seule affaire, c’est le grand rival de Jabotinsky à la tête de la croisade mondiale contre le Reich.

En juillet 1933, quatre mois après la proclamation de guerre des Juifs dans le Daily Express de Londres, Samuel Untermyer fondait à Amsterdam la « Fédération Économique Internationale Juive pour combattre l’oppression hitlérienne des Juifs ».

Un mois plus tard, en août 1933, Untermyer rentrait à New York. À son arrivée, il a prononcé une allocution reproduite par le New York Times, au cours de laquelle il soulignait une fois de plus l’état de guerre dans lequel se tenaient les Juifs du monde entier contre l’Allemagne.

Cette allocution avait d’étranges accents prophétiques, puisqu’elle annonçait non seulement la Shoah, mais le battage autour de la Shoah :

« Quand on pourra raconter l’histoire, et on pourra le faire un jour(…) le monde sera confronté à une image si terrible dans sa cruelle barbarie que l’enfer de la guerre (…) fera pâle figure en comparaison de cette campagne diabolique, délibérée, planifiée de sang-froid et déjà partiellement exécutée, d’extermination (…) de tout un peuple (…) »

À noter que le boycott annoncé l’était au nom d’une communauté juive mondiale, dont en décembre 1938, les Juifs disaient qu’elle n’existait pas.

Theodore KAUFMANN

Homme d’affaire juif-américain, en 1941 dans son livre autopublié Germany Must Perish! il préconise de procéder à une stérilisation de masse de tous les hommes allemands de moins de 65 ans et à la stérilisation de la plupart des femmes allemandes de moins de 45 ans. Cela éliminerait, selon lui, le « germanisme », résolvant ainsi de nombreux problèmes de l’humanité. Il encourage également une distribution des terres allemandes aux pays voisins.

Ilya EHRENBOURG

Propagandiste Juif Russe né à Kiev en 1891, il est l’auteur avec Vassili Grossman du livre noir sur l’extermination des Juifs. Sur la fin de la guerre, il encourageait sur les ondes radio les soldats de l’Armée rouge à casser la fierté raciale des femmes allemandes. Ce qui donnait ça :


Overseas News Agency

Créée en juillet 1940 : cette agence d’information censée être neutre et objective, était en fait une filiale de la Jewish Telegraph[ic] Agency détenue pour partie par de riches Juifs de New York qui contrôlaient par ailleurs le très à gauche et virulemment antinazi New York Post.

En août 1940, une dépêche de l’ONA citant une source tchèque anonyme qualifiée de « sûre », faisait savoir aux Américains que

« des filles et des jeunes femmes tchécoslovaques avaient été emmenées vers les villes de garnison en Allemagne comme esclaves blanches ».

Et la dépêche de poursuivre :

« Les autorités nazies chargées d’expédier ces futures esclaves par wagons entiers informaient les maris et les proches de ce qu’elles se verraient confier la mission importante d’assurer la distraction des soldats allemands pour maintenir le moral des troupes »

Sefton DELMER

Le journaliste juif Sefton Delmer dirigeait le Political Warfare Executive durant la Seconde Guerre Mondiale.

Le Psychological Warfare Division, Division de Guerre Psychologique, était l’organisme de propagande des Alliés. Elle se livrait pendant la guerre, et même après, à la production de faux récits, de documents fallacieux, de présentation biaisée de faits réels, bref au mensonge sous toutes ses formes. Ses divers rôles pendant la guerre étaient la démoralisation de l’ennemi, c’est-à-dire l’Allemagne, d’ébranler la confiance dans ses dirigeants et d’inciter à la résistance contre eux. Le Pr. et Dr Friederich Grimm a rapporté une conversation qu’il a eue après l’armistice en 1945 avec les plus hauts responsables de la PWD. Quand le Prof. Grimm a émis l’idée que, dans l’intérêt de la paix et de la coexistence des peuples, il était temps de mettre un terme à la propagande de haine, il se vit répondre :

« Non ! Ce n’est que le début. Nous continuerons la propagande à base d’atrocités, nous l’intensifierons même, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un mot en faveur de l’Allemagne, jusqu’à ce que toutes les sympathies dont vous avez pu bénéficier à l’étranger soient ruinées, jusqu’à ce que les Allemands soient si accablés qu’ils ne sachent plus qui ils sont.2»

Willi MUNZENBERG

Militant communiste allemand né en 1889.

Parmi les vecteurs de haine contre le national-socialisme avant-guerre, on trouvait les livres bruns. Œuvre du répugnant communiste Willi Münzenberg, ces premières compilations du genre, pleines de documents de photographies et de liste de persécutés, ont donné le ton pour la suite. Dès qu’on en a parcouru un, on les a tous lus tant les techniques de mensonges et de calomnies y sont facilement repérables. On peut les considérer comme les précurseurs des dossiers du TMI.

Depuis lors, des études objectives ont montré que les « documents » et photographies des livres bruns étaient tous sans exception, complètement factices. C’est désormais officiellement reconnu par le « Lexique d’histoire et de politique du 20e siècle » édité sous la direction de Thilo Vogelsang, directeur adjoint de l’Institut d’Histoire Contemporaine de Munich.

Même la note Wikipédia est sans appel, en voici un extrait :

« Selon Jonathan Miles, Willi Münzenberg a fixé les quatre règles les plus durables de l’agit-prop et plus généralement de la communication politique :

◾L’émotion l’emporte toujours sur la raison.

◾Le mensonge en communication est à égalité avec la vérité.

◾Mieux vaut faire parler des « compagnons de route » que des militants.

◾Le débat est inefficace : il faut écraser la contestation


Cardinal VERDIER, archevêque de Paris

Le 4 septembre 1939, il annonçait que « Le sanctuaire national de la Vierge, [de Chestakova] en Pologne est en flammes ». Mais deux jours plus tard une mission de cinq journalistes étrangers était conviée à se rendre compte de l’état réel du site : intact. Et on reprocha à cette occasion à Joseph Goebbels son « génie diabolique de la propagande ».

Cardinal PACELLI, futur Pape Pie XII

Auteur de l’Encyclique « Mit brenneder Sorge » [Avec une grande inquiétude]

Rédigée en allemand et non en latin, fait unique pour une encyclique, elle a été imprimée à des milliers d’exemplaires et a été distribuée dans toute l’Allemagne au clergé allemand pour être lue en chaire le 14 mars 1937. Elle avait clairement pour but de soulever les catholiques allemands et le monde entier contre le Reich. Mgr Isidoro Gomà, cardinal primat archevêque de Tolède a refusé de lire la version espagnole par égard pour la Légion Condor qui combattait avec les troupes nationalistes espagnoles contre les communistes.

Robert G. STOREY

Personnage-clé aux procès de Nuremberg, il est l’assistant du procureur en chef Robert Jackson, c’est lui qui fournit nombre de documents à charge pour le compte de l’accusation américaine. Quand un document commence par la référence « PS » c’est qu’il vient de Paris où Storey entreposait ses documents : PS = Paris – Storey3.

Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, aux procès de Nuremberg, il était extrêmement rare que les pièces à conviction soient des originaux : comme le faisait remarquer un chercheur de l’Institut d’Histoire Contemporaine de Munich, chaque fois qu’il y aurait une importance significative à avoir l’original d’un document présenté à Nuremberg, impossible de savoir où il peut bien se trouver.

Dans la grande majorité des cas c’étaient des «duplicatas » non certifiés, ou des « copies » douteuses. Presque toujours, les « documents » étaient conçus par l’un ou l’autre des vainqueurs. En d’autres termes, les « preuves » qui étaient présentées n’en étaient pas, pour un État droit elles étaient non seulement sans valeur, mais elles constituaient autant de parjures.

Rappelons d’ailleurs deux articles clés des statuts du TMi :

Article 19 : Le Tribunal ne sera pas lié par les règles techniques relatives à l’administration des preuves. Il adoptera et appliquera autant que possible une procédure rapide et non formaliste et admettra tout moyen qu’il estimera avoir une valeur probante.

Article 21 : Le Tribunal n’exigera pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique, mais les tiendra pour acquis.


Non seulement les documents produits par Storey sont souvent des copies, mais en plus, ce sont parfois des copies réalisées par la Psychological Warfare Division dirigée par le Sefton Delmer dont on a parlé plus haut.

Par exemple, le document 374-PS est constitué d’une série de documents qui se rattachent tous d’une manière ou d’une autre aux « mesures antisémites ». Trois de ces documents, le « télex de Müller », une nouvelle version du télex d’Heydrich et un message radio de la police, traitent des événements du 9 novembre 1938 [La nuit de cristal]. Étrangement, il y a un quatrième document inclus dans le 374-PS, une circulaire du NSDAP (Parti National-socialiste des travailleurs allemands) de la région de Trèves – Coblence datée du 7 juin 1933. On ne voit pas très bien ce qui a pu pousser le ministère public américain à combiner ces quatre documents en un document à charge. Leur seul point commun est d’avoir été écrits sur les mêmes formulaires vierges portant la numérotation DE411. Cette numérotation n’est pas celle du ministère public, pour qui il s’agit des documents US-729, ni celle de leur classement dans les archives de Nuremberg, en l’occurrence 374-PS.

DE 411/DIS 202 relève encore d’une autre numérotation, on retrouve l’organisme à l’origine de cette numérotation en en-tête du formulaire sur lequel on a copié les quatre documents :

Restricted

Supreme Headquarter

Allied Expeditionary Forces

Psychological Warfare Division

Intelligence Section

Reference DE411/DIS 202

Disseminated PWD 14 may 1945

The following material has been released by SHAEF authorities for

Background Information

For use of particular items, apply to Intelligence Section PWD.


Le quatrième document du dossier 374-PS de Nuremberg, la circulaire du NSDAP de la région de Trèves Coblence du 7 juin 1933 est un pur produit de cette usine à faux documents.

Quant aux preuves matérielles laissons parler Carlos Whitlock Porter, comme Faurisson, un méchant révisionniste. On connaît le travail gigantesque et méticuleux réalisé par Carlos Whitlock Porter à partir des 3 différentes transcriptions existantes des débats du Procès de Nuremberg (TMI = Tribunal militaire international) qu’il connaît comme sa poche.

« Didi » a publié sur son site un texte de Carlos Porter que ce dernier a intitulé « Procès de Nuremberg, liste des preuves matérielles manquantes ».

Je ne parviens pas à localiser les preuves matérielles suivantes dans quelque archive que ce soit :

1 chambre à vapeur (IMT XXXII 153-158, III 567);
1 chambre électrique (IMT VII 576-577, XII 369);
1 bombe atomique allemande (pour incinération instantanée à Auschwitz)
(IMT XVI 529);
1 arbre (utilisé comme arme à tuer) (IMT VII 582);
1 four portable (IMT VII 586);
1 machine à pédale pour écraser le cerveau (IMT VII 376-377);
1 machine à broyer les os (IMT VII 439, 549-550, 446, 593);
1 machine à fessées (IMT VI 213);
1 abat-jour en peau humaine (IMT XXXII 258, 259, 261, 263, 265, 269);
1 livre de poche et 1 paire de gants pour conduire, tous en peau humaine
(IMT XXX 352, 355);
1 dessin pornographique peint sur une toile faite de peau humaine (IMT XXX
469);
1 reliure en peau humaine (IMT VI 331);
1 selle, 1 paire de culottes d'équitation, 1 paire de gants, 1 paire de
pantoufle, 1 sac à main de femme, tous en peau humaine (IMT V 171);
1 boîte à torturer (déguisée en garde-robe ordinaire) (IMT XVI 561,
546,556-557);
1 chaise rembourrée avec des cheveux humains (IMT XIX 506);
1 matelas rembourré avec des cheveux humains (IMT I, 252);
1 paire de chaussettes fabriquées avec des cheveux humains (IMT XXXIX
552-553, XX 353);
1 pot de savon humain (IMT VII 597-601);
1 morceau de peau humaine tannée (IMT VII 600);
1 camion à gaz (IMT VII 571);
1 paillasson de maison fait de cheveux humains (NMT V 1119-1152, procès
d'Oswald Pohl).


Nous savons que ces objets ont existé, parce qu'ils ont été « prouvés » à Nuremberg au moyen de « documents officiels » et de « déclarations sous serment ». Mais personne ne sait où ils se trouvent.

Malgré tout, 75 ans après Nuremberg, il suffit de regarder par sa fenêtre pour savoir que le révisionnisme ne gagnera jamais, beaucoup s’en réjouissent, nous ne les comprenons pas, mais nous leur souhaitons bonne chance pour la suite.

Francis Goumain



Notes :

◾*Conversation le 22 juillet 2017 à Vichy au domicile du professeur
◾**Entretien téléphonique été 2018
◾1 Friedrich Grimm, Mit offenem Visier. Aus den Lebenserinnerungen eines deutschen Rechtsanwalts (Leoni: 1961), p.145.
◾2 Grimm, Politische Justiz, p.148.
◾3 Information de l’Institut d’Histoire Contemporaine (Munich)

Source générale :

◾Ingrid Weckert Le Point de Rupture
◾Pierre Maximin Une encyclique Singulière
◾Thomas Goodrich Tempête infernale


https://jeune-nation.com/kultur/cult...a-t-il-un-jour

Last edited by alex revision; December 4th, 2020 at 02:57 PM.
 
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