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February 10th, 2020 | #1 |
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« Les Allemands ont détruit tous les documents » (Jürgen Graf)
« Les Allemands ont détruit tous les documents » par Jürgen Graf Si l’on demandait aux Chevaliers du Saint Graal de l’Holocauste pourquoi il y a une telle absence de preuves documentaires sans équivoque du meurtre en masse des Juifs, la plupart d’entre eux répondraient que les Allemands ont détruit tous les documents juste avant la fin de la guerre. Cette affirmation est en fait faite par l’un des témoins vedettes des rangs de l’accusation à savoir le SS brésilien Pery Broad, qui a compilé des notes détaillées dans les prisons britanniques. À la dernière page des Erinnerungen (Mémoires) de Broad, page 75, il dit :
Broad fut libéré dès 1947, bien que les Britanniques auraient pu le tuer ou le pendre sans plus attendre, puisque chaque Allemand, et surtout chaque SS, était alors libre de ses actes. Il est évident que sa libération anticipée était une récompense pour les services rendus, services qui continuent à constituer une contribution majeure à la consolidation de l’image de la « Solution finale », à cette époque encore à l’état brut et fluide. Il est tout simplement faux de dire que des piles de documents ont été brûlées à Auschwitz, car de très nombreux documents sont disponibles précisément dans ce plus grand de tous les « camps d’extermination ». Les Archives spéciales de Moscou contiennent environ 90 000 pages de documents de l’Administration de la construction, c’est-à-dire précisément de la même organisation qui était responsable de la construction du crématorium et donc, selon la légende de l’Holocauste, de la construction des chambres à gaz prétendument situées dans les crématoriums. Lors de deux séjours assez longs à Moscou (juillet-août ainsi que novembre-décembre 1995), nous avons examiné les 90 000 pages de documents avec le chercheur italien Carlo Mattogno (l’éditeur américain de Mattogno, Russell Granata, était également présent lors de la première visite). Certains de ces documents, peut-être 20.000 pages, sont des copies faites par les Allemands d’autres pages ; environ 70.000 autres pages sont des documents primaires. Pas un seul document n’apporte la preuve de gazages massifs d’êtres humains. Cela ne nous surprend nullement, car si un tel document avait existé, il aurait depuis longtemps été présenté triomphalement au monde. Deux représentants éminents de l’école d’extermination, Jean-Claude Pressac et le juif britannique Gerald Fleming, ont tous deux travaillé dans ces archives et examiné une partie de la documentation. Ni Pressac ni Fleming n’ont trouvé la preuve documentaire tant recherchée pour les chambres à gaz meurtrières. L’objection selon laquelle les Allemands auraient pu passer au crible les documents incriminés juste à temps et les détruire, est extrêmement naïve. Imaginez une telle situation :
Il en va de même pour le camp de Majdanek, pour lequel des montagnes de documents sont également disponibles. Dans Hoax or Holocaust? The Arguments de Jürgen Graf, 1997 https://grandfacho.com/?p=27921 |
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