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Old January 15th, 2022 #1
alex revision
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Default Le révisionnisme pour les nuls


Maurice Haas-Colle



Nous avions déjà listé dans deux articles précédent des références de journaux évoquant la figure des « 6 millions de Juifs » et le concept d'« holocauste » dans la propagande sioniste : Le mythe des 6 millions avant 1900, et Le mythe des 6 millions depuis 1900. Nous travaillons à collecter et traduire plus de références.

Voici un article intéressant paru dans la revue révisionniste Dubitando n°13 en octobre 2007. Son intérêt est qu'il présente une synthèse de ces références. On notera qu'il ne fait pas mention des références précédent 1900. On peut penser qu'en 2007, elles n'étaient pas connues. Cet article apporte en outre un éclairage sur la genèse du chiffre des 6 millions au procès de Nuremberg, chiffre qui fut alors assené comme vérité absolue pour l'éternité, et protégé par la grâce de loi Gayssot !

Bonne lecture !

L’article qui suit est, en partie, le résumé d’un des chapitres de la communication faite par l’Américain Jan Bernhoff à la Conférence sur l’Holocauste de Téhéran des 11-12 décembre 2006 sous le titre de « The Holocaust Demography ». Les divers éléments de sa communication sont déjà bien connus pour avoir été exposés par Arthur Butz, Mark Weber, Robert Faurisson et plus récemment Don Heddesheimer [1] ; néanmoins, cette communication de J. Bernhoff est intéressante en ce qu’elle opère la synthèse de tous ces éléments.

Peu d’Américains ou d’Européens pourraient donner le chiffre des pertes de leur pays au cours de la Seconde guerre mondiale. En revanche, tous savent, pour avoir été soumis au plus gigantesque endoctrinement de tous les temps, que « six millions de juifs » ont trouvé la mort au cours de la guerre. Mais quel est le fondement de ce chiffre désormais sacré ?

Wilhelm Höttl

Le chiffre de six millions entra dans l’histoire à Nuremberg quand il fut évoqué par le procureur britannique Hartley Shawcross dans son discours de clôture. Or, ce chiffre n’était fondé sur aucune preuve mais sur un seul témoignage écrit, celui d’un simple commandant SS du nom de Wilhelm Höttl, lequel avait témoigné dans un affidavit du 26 novembre 1945 de ce qu’Eichmann lui avait confié en août 1944, un soir qu’il était ivre, que quelque 4 millions de juifs avaient été tués dans « divers camps d’extermination » et 2 autres millions tués d’autres manières, la plupart abattus par les Einsatzgruppen au cours de la campagne de Russie, soit 6 millions au total. Ainsi qu’elle le fit couramment à Nuremberg et ailleurs, l’accusation américaine produisit l’affidavit mais sans faire venir Höttl à la barre ! Par la suite, Eichmann déclara que les propos de Höttl étaient « absurdes » et nia vigoureusement lui avoir fait une confidence de ce genre ; il ajouta qu’il supposait qu’Höttl avait entendu cette histoire à la radio ou l’avait lue dans les journaux. [2]

Mais qui était donc ce Höttl ? Né en 1915 à Vienne, docteur en histoire, ayant servi dans la SS (RSHA) notamment en Hongrie lors de la déportation des juifs hongrois, Höttl fut arrêté par les Américains le jour même de la reddition de l’Allemagne ; il fut aussitôt engagé par les services secrets américains et travailla pour eux plusieurs années. Il est mort en 1999.

En 2001, la CIA déclassa un grand nombre de documents relatifs à la guerre dont un épais dossier Höttl accompagné des commentaires de deux historiens-fonctionnaires dans un rapport intitulé « Analysis of the Name File of Wilhelm Hoettl ». [3] Ce rapport établit que Höttl était un informateur peu fiable, qui fabriquait de façon routinière de fausses informations pourvu qu’elles plaisent à celui qui le rémunérait : « Le dossier Höttl est d’environ 600 pages, un des plus gros de ceux qui sont déclassifiés. La dimension du dossier doit beaucoup à la carrière qu’a faite Höttl après la guerre comme fournisseur d’informations, bonnes et mauvaises, à tout qui le rémunérait. Höttl avait des rapports avec les services de renseignement de douze pays : les USA, la Yougoslavie, l’Autriche, Israël, la Roumanie, le Vatican, la Suisse, la France, l’Allemagne de l’Ouest, la Russie, la Hongrie et la Grande-Bretagne. » Sans parler de Simon Wiesenthal avec lequel Höttl travailla aussi.

Dès son arrestation, Höttl travailla donc pour l’OSS (prédécesseur de la CIA) puis pour le CIC (contre-espionnage) : « Dès son arrestation, Höttl se mit en devoir de capter l’intérêt de ses geôliers […] ». Un de ses premiers rapports fut justement l’affidavit des 6 millions.

En juin 1949, un fonctionnaire des services secrets américainsmit en garde contre Höttl en le décrivant comme « un homme si exécrable et aux si piètres états de service politiques que le bénéfice que les Etats-Unis pourraient tirer de son utilisation dans le cadre d’activités de renseignement, était illusoire ».

En août 1950, des courriers de la CIA qualifiaient Höttl de « fabricateur notoire d’informations » ; en 1952, un rapport du CIC estimait que ses rapports étaient « sans valeur et probablement exagérés ou fabriqués ».

La conclusion des historiens-fonctionnaires est sans appel : le dossier d’Höttl retrace les activités d’ « un colporteur et d’un fabricateur notoire de renseignements ».

Il est à noter que Höttl avait eu de graves ennuis dans la SS. Selon Arthur Butz, il fut mêlé à une sombre affaire immobilière en Pologne et il fut dégradé en 1942 ; un rapport SS le qualifiait de « malhonnête, intrigant, flagorneur, […] un véritable mystificateur ». Il fut à nouveau mêlé en 1943 à une affaire de détournement de fonds et il n’évita une nouvelle sanction que grâce à l’amitié de son compatriote Kaltenbrunner.

Malgré le discrédit général qui frappe désormais Höttl, personne n’a osé remettre en question son témoignage sur les six millions et l’on continue à s’y référer.

Toutefois, Höttl ne fut pas l’inventeur de ce chiffre de six millions. Il est bien possible, comme l’a dit Eichmann, qu’il l’avait entendu à la radio ou lu dans une gazette. L’origine du mythe, en fait, est fort lointaine.

Le rabbin Stephen Wise

En 1918 fut créé l’American Jewish Congress pour « fournir de l’aide humanitaire aux juifs européens qui ont souffert du carnage de la guerre et restaurer l’Etat d’Israël en Palestine » [4]. L’homme fort du Congress était le rabbin Stephen S. Wise. Sioniste militant, Wise déclarait déjà en 1900 lors d’un rassemblement sioniste qu’il y a « 6.000.000 d’arguments vivant, saignant, souffrant en faveur du sionisme ». C’est la première référence connue au chiffre de six millions. [5] Certes, ces six millions de juifs n’étaient ni morts, ni en train de mourir mais ils faisaient le juif : ils souffraient, saignaient, geignaient et, bien entendu, convoitaient le bien d’autrui.

L’holocauste de six millions de juifs de la Première guerre mondiale

« Six millions » et « Holocauste » sont des mots associés. Ce dernier fut beaucoup utilisé durant la Première guerre mondiale pour décrire le sort connu par « six millions » de juifs durantcette guerre et cet « holocauste » fut alors décrit comme « la plus grande tragédie que le monde ait jamais connue ».

Au début, l’origine attribuée par les responsables juifs à cet holocauste n’était pas tant la guerre que la politique antijuive du régime tsariste ; ainsi l’American Jewish Committee affirmait en 1916 [6] que la Russie avait créé une zone d’internement pénal [En fait, il s’agit du Pale.] dans laquelle « six millions » d’êtres humains simplement coupables d’être juifs avaient été relégués et vivaient dans des conditions sordides, la misère, la crainte constante d’être « exterminés », soumis qu’ils étaient aux caprices de la police et d’une administration corrompue.

A cette époque, on le notera, plusieurs leaders juifs américains s’étaient rangés du côté de l’Allemagne du fait qu’elle était l’ennemie de la Russie. Tout changea avec la campagne antiallemande qui se développa aux USA (et dont les juifs américains étaient également victimes), l’entrée des USA dans la guerre, la Déclaration Balfour et, surtout, la chute du tsarisme : l’origine de l’holocauste fut alors attribuée aux seules misères de la guerre.

Aujourd’hui, plus aucun historien ne croit en cette histoire d’holocauste ; à vrai dire, peu de personnes même en ont entendu parler. L’holocauste ne s’arrêta d’ailleurs pas à la fin des hostilités en 1918 : l’holocauste de la guerre se transforma progressivement en un holocauste d’après-guerre. Ainsi, en 1919, l’important magazine American Hebrew reproduisit dans un article intitulé « The Crucifixion of Jews Must Stop ! » un discours pononcé par Martin Glynn, ancien gouverneur de l’Etat de New York, et dans lequel Glynn parlait à plusieurs reprises de « six millions » de juifs européens « en train de mourir » et « d’être précipités dans la tombe » dans un « holocauste effroyablement meurtrier ». [7] En 1974, Yehuda Bauer publiait une monographie autorisée sur le fameux Joint dans laquelle il écrivait : « […] la destruction des juifs d’Europe au cours de la Seconde guerre mondiale a fait perdre la mémoire du premier holocauste du 20e siècle, celui de la Première guerre mondiale. » [8]

La monographie autorisée sur l’American Jewish Committee publiée en 1948 contient un chapitre intitulé « The Holocaust of War » et traitant des souffrances des juifs du fait de la Première guerre mondiale ; on peut y lire : « Quand les armées s’affrontèrent sur les frontières de la Pologne, de la Galicie et de la Prusse orientale, la terreur, la désolation et la mort frappèrent les populations civiles en général, mais surtout les sept millions de juifs. Les chrétiens polonais, ruthènes et allemands souffrirent ce que toute guerre apporte inévitablement ; mais les juifs, déjà persécutés par les Russes et les Polonais, durent faire face à une orgie concentrée de haine, de soif de sang et de vengeance qui menaçait de les anéantir dans un vaste holocauste. » [9]

En 1919, l’influent Felix Warburg déclara dans le New York Times (NYT) que c’étaient les juifs qui avaient le plus souffert de la guerre, laquelle « avait réduit à un état incroyablement tragique de pauvreté, de faim et de maladie quelque 6.000.000 d’âmes, soit la moitié de la population juive mondiale. » [10]

Toujours en 1919, le même NYT rapportait que la guerre avaient laissé « 5.000.000 de juifs malades et affamés dans l’Europe de l’Est. […] Leur nombre se réduit jour après jour du fait de toute une série des plus terribles épidémies qu’ait jamais connue aucune partie du monde. » Les juifs avaient donc « souffert de la guerre plus que tout autre groupe. » [11]

Comme on le verra encore par la suite, par moment, c’est le chiffre de « cinq millions » ou encore celui de « plus de cinq millions », parfois « sept millions » qui est avancé mais les propagandistes juifs en reviennent tôt ou tard au chiffre moyen de « six millions ».

En 1920, le NYT, lequel avait fait campagne dans la collecte de fonds au bénéfice quasi exclusif des juifs nécessiteux, rappelait que les juifs s‘étaient battus courageusement aux côtés des Alliés, malgré quoi ils se trouvaient toujours sans patrie et continuaient à souffrir malgré la fin de la guerre : « En Europe, il y a aujourd’hui plus de 5.000.000 de juifs qui meurent de faim ou sont sur le point de mourir de faim ; beaucoup d’entre
eux sont pris dans une virulente épidémie de typhus. Un appel est lancé dans le monde entier. » [12]

Dans un autre éditorial de la même année 1920 et intitulé « Les victimes juives de la guerre », le même journal écrivait : « En Russie et dans les régions voisines, les juifs ont été l’objet d’une persécution particulièrement maligne qui n’a pas cessé avec la guerre. N’ayant pas d’organisation nationale propre, ils n’ont pas d’organisation centrale pour appeler à l’aide. Vivant dans des communautés mises à l’écart et généralement pauvres, ils cumulent misère et nombre d’autres souffrances. On estime que plus de cinq millions sont actuellement en train de mourir de faim ou sur le point de mourir de faim. Une virulente épidémie de typhus fait rage parmi eux et elle s’étend déjà aux populations avoisinantes. » [13]

La campagne finit par s’essoufler et les responsables juifs durent la relancer en 1926 toujours, bien entendu, par l’intermédiaire de leur journal favori, le NYT, l’objectif financier fixé pour la seule ville de New York étant de recueillir « $ 6.000.000 ». [14] (Voyez ci-dessous.)

Les chrétiens furent également embrigadés : « Il y a 5.000.000 de juifs en Europe centrale et orientale face à la faim […] Cinq millions de juifs actuellement dans une détresse désespérée – 2.225.000 en Russie, 2.225.000 en Pologne et 500.000 en Bessarabie, Lithuanie et dans les pays avoisinants. » [15]

Les années 30 : Chaim Weizmann

Le tapage continua dans les années 30. Exemple : Le 25 novembre 1936, Chaim Weizmann, lequel devint le premier président de l’Etat juif, fut appelé à té-moigner en tant que président de l’Organisation Sioniste Internationale devant la Peel Commission. L’objet en était la parti-tion de la Palestine entre juifs et Palestiniens. Il déclara : « Il n’est pas exagéré de dire que six millions de juifs sont condamnés à être internés dans cette partie du monde, dans la-quelle ils ne sont pas désirés, et cela par des pays qui se partagent entre ceux où ils sont indésirables et ceux où ils ne sont pas admis. » On relèvera en outre le fait que, trois ans avant le déclenchement de la guerre, Weizmann exploitait déjà le mythe de l’holocauste à venir dans la lutte pour le contrôle de la Palestine ! [16]

Weizmann s’était déjà signalé par ses extravagances lors de la Conférence de la paix de Paris de 1919 : « En tant que groupe les juifs ont été plus durement frappés par la guerre [de 14-18] que tout autre. » En novembre 1932, au congrès annuel de l’Organisation Sioniste Mondiale à Londres, le même Weizmann déclarait : « Eretz Israël se construit sur les décombres de la diaspora […] Les pertes infligées au monde juif ont considérablement stimulé la croissance rapide du Foyer national à cette époque […] Et Eretz Israël intégrera les rares rescapés de cette entreprise de destruction et de dévastation. » [17]

Arrivée au pouvoir des nazis

L’arrivée au pouvoir des nazis en 1933 fut une aubaine pour la propagande juive et elle entraîna un changement de discours : l’holocauste se poursuivait, bien entendu, mais, progressivement, ses auteurs changèrent ; ainsi, en 1938, Jacob Tarshis, représentant du Joint, parlait encore (dans le NYT, cela va sans dire) de « l’image déprimante de 6.000.000 de juifs d’Europe centrale et orientale privés de protection, mourant lentement de faim, sans espoir » mais, aussitôt et dans le même article, il actualisait son discours : « La tragédie juive a commencé avec l’arrivée au pouvoir de Hitler en 1933. Maintenant, l’antisémitisme s’est étendu à 13 pays européens et menace l’existence de millions de juifs européens. » [18]

Les années 40 : Nahum Goldman et le rabbin Wise

En 1940, Nahum Goldman, président du World Jewish Congress, déclarait à l’Hôtel Astor que « Six millions de juifs européens seraient condamnés à la destruction, si les nazis devaient vaincre. […] Les possibilités d’une émigration massive et d’une réimplantation des juifs européens semblent s’éloigner et ils courent le danger d’une extermination physique. Même les 4.000.000 de juifs soviétiques, quoique exempts de discrimination raciale, ne sont pas sauvés en cas de victoire finale des nazis. » [19]

L’inventeur du concept des six millions, le rabbin Wise, était encore actif. Ainsi, le NYT publia-t-il le 25 novembre 1942 un article intitulé « Himmler a programmé le massacre des juifs polonais. […] Les autorités polonaises publient des informations – Le Dr. Wise en reçoit confirmation auprès du Département d’Etat. ». La première partie de l’article se fondait sur un rapport diffusé par le gouvernement polonais de Londres (qui se fondait sur un article paru dans une revue palestinienne) ; d’après ce rapport, Himmler, en visite à Varsovie, avait ordonné que la moitié des juifs polonais fussent tués avant la fin de l’année et la tuerie était en cours dans toute la Pologne, surtout à Treblinka, Belzec et Sobibor (A l’époque, Auschwitz n’était pas encore entré dans la rhétorique juive et alliée.). La suite était inspirée par Wise, lequel affirmait que, selon une source confirmée par le Département d’Etat, « la moitié des 4.000.000 juifs de l’Europe occupée par les nazis avait été abattus dans une campagne d’extermination » et que « le plan avait été établi par Herman Backe, Secrétaire d’Etat pour l’économie et approuvé par Hitler l’été passé. »

La propagande de guerre du New York Times

Comme on l’a vu, l’influent journal juif The New York Times était (et est toujours, ainsi qu’on l’a vu dans la campagne d’intoxication préalable à l’invasion de l’Irak) le principal vecteur de la propagande juive. Au cours de cette période, il servit donc journellement la fable des 6 millions à tout qui savait lire. Arthur Butz en a donné quelques autres exemples :

• 13 décembre 1942 : « […] d’authentiques rapports chiffrent à 2.000.000 le nombre de juifs qui ont déjà été tués de diverses manières sataniques et barbares et prévoient la totale extermination de tous les juifs tombés aux mains des Allemands. Le massacre d’un tiers de la population juive des territoires contrôlés par Hitler [soit 6.000.000] et le massacre à venir des autres juifs est un holocauste sans égal. »

• 2 mars 1943 : « Une intervention immédiate des Nations Unies pour sauver un maximum des cinq millions de juifs menacés d’extermination […] a été demandée lors d’une manifestation de masse […] à Madison Square Garden hier soir. [Selon le rabbin Hertz] il est épouvantable que ceux qui proclament les Quatres Libertés aient fait si peu pour assurer le droit à la vie de 6.000.000 de leurs coreligionnaires juifs en se tenant prêts à secourir ceux qui ont pu échapper aux tortures et à la boucherie nazies. » On notera qu’au cours du même meeting, les chiffres de cinq et six millions ont été cités.

• 10 mars 1943 : « Quarante mille personnes ont regardé […] la nuit dernière la représentation de « We Will Never Die » en hommage dramatique aux 2.000.000 de juifs tués en Europe. […] L’orateur a dit : ‘Il n’y aura pas de juifs en Europe pour regarder la pièce quand la paix sera revenue. Les quatre millions restant à tuer sont en train d’être tués selon le plan.’ »

Michael Dov Weissmandel et Ilya Ehrenbourg en 1944

En Europe, la guerre n’était pas terminée que, déjà, certains, à l’Est, avançaient aussi le chiffre sacré. Ainsi, dans une lettre du 31 mai 1944, le rabbin slovaque Weissmandel écrivait : « Jusqu’à ce jour, six fois un million de juifs d’Europe et de Russie ont été détruits. » [20] De son côté, le journaliste judéosoviétique Ilya Ehrenbourg citait également le chiffre de six millions dans l’hebdomadaire londonien Soviet War News du 22 décembre 1944.

Retour à Nuremberg

D’après David Irving, en juin 1945, Robert Jackson, qui allait être désigné pour diriger l’accusation américaine à Nuremberg, reçut les représentants des associations juives américaines ; il leur demanda combien de juifs avaient été tués et, alors que personne n’avait encore pu faire un bilan sérieux, il lui fut répondu « Six millions ». Restait (C’est notre thèse mais nous ne pouvons la fonder valablement, il est vrai.) à souffler ce chiffre à Höttl et nous voilà revenus à l’affidavit que ce fabricateur remit en novembre 1945 aux services de … Robert Jackson lui-même !

Conclusion

Depuis 1900, à en croire les propagandistes juifs, « six millions » de juifs sont occupés à souffrir, à saigner, à mourir dans un « Holocauste » à nul autre pareil dû, selon la saison, au régime tsariste, aux Polonais ou à d’autres, à la première guerre, aux épidémies, enfin aux Allemands. La déportation des juifs par ces derniers (déportation dont nous ne nions pas qu’elle se termina de façon tragique pour la majorité des déportés) fut une aubaine pour les leaders juifs : ils eurent ainsi l’occasion de faire (enfin) mourir ces six millions de coreligionnaires et engranger au passage toutes sortes de considérables bénéfices politiques et pécuniaires.

Initialement, le chiffre de six millions de juifs souffrant, saignant, etc. correspondait sensiblement à la population juive de l’empire russe, autant dire à la population juive européenne. Il a donc été retenu par la suite pour quantifier les victimes puis les morts juifs de l’Holocauste incessant qui aurait frappé les juifs européens. Le chiffre de six millions de juifs morts de la main des Allemands n’a donc aucun fondement sérieux ; c’est un chiffre symbolique qui n’est qu’un des éléments de la liturgie juive. Il est bien digne de figurer dans un prochain chapitre de la Bible.


[1] Arthur R. Butz, « La Mystification du XXe siècle », La Sfinge, 2002 ; Mark Weber, « Wilhelm Höttl ou les ‘six millions’ introuvables », Etudes Révisionnistes, Vol. 3, p.124 ; Robert Faurisson, notamment « Procès Amaudruz (…) », Etudes Révisionnistes, Vol. 1, p. 89 ; Don Heddesheimer, The First Holocaust, Castle Hill Publishers, Jan. 2007.
[2] Rudolf Aschenauer, « Ich, Adolf Eichmann », Druffel, 1980, p. 460.
[3] Voyez http:Ilwww.nara.govliwgldeclasslhoettl.html, site des U.S.
National Archives.
[4] Gregg Ivers, « To Build A Wall. The American Jews and the Separation
of Church and State », University Press of Virginia, 1995, p 36.
Le Congress représentait les juifs d’origine est-européenne, l’American
Jewish Committee représentant plutôt les juifs d’origine allemande.
[5] « Rabbi Wise’s Address », New York Times, 11 juin 1900, p. 7.
[6] « The Jews in the Eastern War Zone », 1916
[7] Martin H. Glynn, « The Crucifixion of Jews Must Stop ! », The American
Hebrew, 31 oct. 1919, p. 582f.
[8] Yehuda Bauer, « My Brother’s Keeper. A History of the American
Joint Distribution Committee 1929-1939 », The Jewish Publication Society
of America, Philadelphia, 1974.
[9] Nathan Schachner, « The Price of Liberty. A History of The American
Jewish Committee », The American Jewish Committee, New York,
1948, p. 60.
[10] « Felix M. Warburg Tells Sad Plight of Jews », NYT, 29 sep. 1919,
p. 7.
[11] « Five Million Face Famine in Poland », NYT, 3 déc. 1919, p. 24.
[12] NYT, 21 avril 1920, p. 8.
[13] « The Jewish War Sufferers », NYT, 3 mai 1920, p.12.
[14] NYT, 21 avril 1926
[15] The American Christian Fund, déc. 1926.
[16] Thomas Mann, « Sieben Manifeste zur jüdischen Frage », Meizer,
Darmstadt, 1966, p. 18. Voir aussi Don Heddesheimer, « The First Holocaust
», Theses & Dissertations Press, Chicago, 2003, p.
[17] Benny Morris (Tr. Claire Drevon), « Réaction des quotidiens juifs
d’Eretz Israël à l’accession d’Hitler au pouvoir en 1933 », Le Monde
Juif, jan./juin 2005, p. 31.
[18] « Jewish Teachers Chided By Isaac », NYT, 23 fév. 1938.
[19] « Nazi Publicity Here Held Smoke Screen », NYT, 25 juin 1940.
[20] Lucy Dawidowicz, A Holocaust Reader, Behrman House, New
York, 1976, p. 327, citée par R. Faurisson.
 
Old January 15th, 2022 #2
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Qu’ont dit les constructeurs des prétendues chambres à gaz d’Auschwitz ?

Maurice Haas-Colle

On trouve dans Pressac [1] les noms d’ingénieurs, d’architectes, d’ouvriers de la SS et de sociétés diverses qui participèrent à la construction des prétendues usines de mort d’Auschwitz.

Les a-t-on interrogés et, si oui, qu’ont-ils dit ?

1. Les ingénieurs et architectes SS

On ne peut qu’être ébahi d’apprendre que le chef de la Zentralbauleitung d’Auschwitz, Karl Bischoff, n'a pas été inquiété après la guerre ; ingénieur en superstructures et en génie civil, à l’époque SS-Sturmbannführer, mort dans les années 50, Bischoff n'a même jamais été interrogé comme témoin ; or, c'est lui qui a présidé aux diverses phases de la conception, de la construction et de la mise en route des crématoires ! Cet oubli de la justice alliée puis de la justice allemande apparaîtra suspect aux plus bienveillants.

Deux de ses adjoints, les SS Walter Dejaco, architecte, chef du bureau desplans, et Fritz Ertl, ingénieur en superstructures et architecte, furent tout de même jugés à Vienne en 1972 à une époque où l'on avait cessé d'interroger les suspects à coups de pied dans les testicules. Ce procès qui fut peu médiatisé (Les débats se déroulèrent parfois devant une salle vide.) a été le véritable « procès d'Auschwitz », dit R. Faurisson, à qui a été refusé l'accès aux minutes du procès. Plus récemment, un autre chercheur révisionniste, Michael Gärtner, a cherché à son tour à consulter ces minutes mais il lui a été répondu qu’elles n’étaient plus disponibles ! Gärtner n’a donc pu que consulter les comptes rendus de la presse [2]. Selon celle-ci, Dejaco a affirmé qu'à aucun moment de la conception et de la construction, il n'avait entendu parler d'un éventuel détournement à des fins criminelles desdits crématoires. Moins clair, Ertl, de son côté, a prétendu avoir tenté de retarder les travaux. Finalement, le tribunal a nommé un expert pour l'éclairer sur deux points, à savoir :

�� L'examen des plans des crématoires permettait-il d'affirmer qu'ils prévoyaient la construction d'une installation de gazage ?

�� Les deux accusés pouvaient-ils imaginer qu'il était techniquement possible que, plus tard, on puisse transformer les crématoires en installation de gazage ?

Malgré le fait qu'il bénéficia de l'aide documentaire du Musée d'Etat d'Auschwitz, de l'URSS (où Dejaco avait été emprisonné 5 ans comme prisonnier de guerre) et de toutes les forces juives (Simon Wiesenthal, notamment), l'expert ne put mettre les accusés en difficulté et répondit négativement aux deux questions. Les deux accusés furent donc relaxés. L'accusation affirma qu'elle ferait appel mais elle n'en fit rien !

2. Les sociétés de construction

Par contre, on n'interrogea pas les responsables des sociétés de génie civil et autres qui travaillèrent à la construction et à l’aménagement des crématoires ; c'était pourtant élémentaire.

Fort heureusement, Werner Rademacher a recueilli en 1988 le témoignage de l'un d'eux, Walter Schreiber. Ce dernier était un ingénieur ayant travaillé de 1937 à 1945 chez Huta, importante entreprise de construction. Il en était le responsable (Oberingenieur) pour le secteur de Kattowitz dont dépendait Auschwitz. Huta a notamment construit les grands crématoires II et III et leurs morgues (les prétendues chambres à gaz dans lesquelles la plupart des juifs auraient été gazés).

Schreiber était donc bien placé pour juger de ce qui s'y était fait et, pour lui, il était tout à fait invraisemblable que les crématoires aient jamais pu servir à des gazages de masse.

Résumé de l'interview donnée à Werner Rademacher par Walter Schreiber :

Q : « On dit que les morgues devaient être utilisées comme chambres à gaz pour le meurtre de masse ? »
R : « On ne pouvait rien déduire de tel de l’examen des plans. Au vu des plans de masse et de détail dont nous disposions, ces pièces étaient des morgues ordinaires. »
Q : « Savez-vous s’il y avait des orifices [pour l’introduction du Zyklon-B] dans le toit en béton des morgues ? »
R : « Non, pour autant que je m’en souvienne. Comme ces morgues devaient servir accessoirement d’abris antiaériens, ces orifices auraient été contre-indiqués. Je n’aurais pas manqué de le faire remarquer. »
Q : « Est-il pensable que vous ayez été trompés et que la SS vous ait fait construire à votre insu des chambres à gaz ? »
R : « Celui qui connaît le développement d’un chantier sait bien que cela n’est pas possible. »
Q : « Connaissez-vous les chambres à gaz ? »
R : « Naturellement. Tout le monde dans l’Est européen connaissait les chambres à gaz de désinfection. Notre société a construit des chambres à gaz de désinfection qui ressemblaient à toute autre chose. (...) »
Q : « Quand avez-vous appris que votre société avait construit des chambres à gaz destinées au meurtre de masse ? »
R : « Après la guerre. »
Q : « Est-ce que cela vous a surpris ? »
R : « Oui ! J’ai pris contact avec mon ancien supérieur et je l’ai interrogé. »
Q : « Qu’est-ce que vous avez appris ? »
R : « Il en avait également entendu parler après la guerre mais il m’a assuré que notre société Huta n’avait sûrement pas construit des morgues - chambres à gaz. »
Q : « Est-ce qu’une transformation des morgues après votre départ est pensable ? »
R : « Oui mais je l’exclus plutôt pour des raisons de temps. La SS ne pouvait entreprendre ce travail elle-même avec les seuls détenus et elle aurait donc dû à nouveau faire appel à des entreprises extérieures. Sur la base des connaissances techniques sur les chambres à gaz que j’ai acquises par la suite, je peux dire que la chambre que nous aurions construite à cette époque aurait été complètement ratée, et ceci pour des raisons techniques et humaines. » [3]

W. Rademacher lui a encore demandé pourquoi il n’avait pas témoigné. Et W. Schreiber de répondre que, d’une part, au lendemain de la guerre, il avait d’autres préoccupations et, d’autre part, personne ne l’avait jamais interrogé sur ses activités à Auschwitz ou ailleurs. W. Schreiber a autorisé W. Rademacher à publier son témoignage mais après sa mort (survenue en 1999), ce qui en dit long sur l’état de la liberté d’expression en Allemagne cinquante ans après la mort d’Hitler.

3. Les détenus qui ont participé aux travaux

Comme l’indique Schreiber, de nombreux détenus ont participé à la construction des crématoires. On ne possède le témoignage d’aucun d’eux sans que, pour autant, on nous affirme qu’on les a supprimés comme témoins gênants. Incompréhensible !

4. La Topf und Söhne

La société Topf a livré les fours pour l’élimination des corps et elle aurait participé à la mise au point de l’outil de mise à mort par gazage (notamment en fournissant la soufflerie). Ludwig Topf junior, co-directeur de Topf se suicida fin mai 1945 quand les Américains (Erfurt était alors sous leur contrôle.) semblèrent s’intéresser à son entreprise (non pas, pensait Pressac, à cause de la fourniture de fours à Auschwitz mais à Buchenwald). Son frère Ernst-Wolfgang Topf, co-directeur de la société, parti en Allemagne de l’Ouest pour affaires fin juin 1945, ne se pressa pas de rentrer à Erfurt puis finalement y renonça et créa en 1951 une nouvelle société Topf à Wiesbaden.

Auparavant, comme des millions d’Allemands, il avait dû comparaître devant une chambre de dénazification et, bien entendu, il y fut question de ses fours, ce qui incita la justice ouest allemande à s’intéresser de plus près à son cas mais il n’y eut pas de suite notamment parce que les Allemands de l’Est ne permirent pas au personnel de l’ancienne Topf de témoigner. Cette mansuétude de la justice ouest-allemande reste toutefois incroyable. Kurt Prüfer, chef de la division « Construction des crématoires » de Topf, fut arrêté fin mai 1945 par les Américains ; Pressac affirme que ses papiers furent saisis mais que, comme il les avait préalablement expurgés, on n’y découvrit rien d'anormal et Prüfer fut relâché après 15 jours de détention.

En fait, Pressac fait preuve de dogmatisme et recourt à la pétition de principes : il ne peut donc lui venir à l’esprit qu’il y a peut-être bien là la preuve de l’innocence de Prüfer !

En juillet 1945, Erfurt passa dans la zone d’occupation soviétique. Topf continua normalement son activité et eut même l’occasion de fournir aux nouvelles autorités deux fours pour ordures. En octobre 1945, les Russes commencèrent à s’intéresser à Prüfer mais celui-ci ne s’en inquiéta pas et ne tenta apparemment pas de passer à l’Ouest, ce qui semble à nouveau indiquer qu’il n’avait rien à se reprocher. Malgré quoi, les Soviétiques l’arrêtèrent en mars 1946 et l’emmenèrent en URSS avec trois de ses collègues (Fritz Sander, qui mourut presque aussitôt pendant les interrogatoires, Karl Schultze, qui s'était occupé de la ventilation des crématoires d’Auschwitz et Gustav Braun, directeur de la production) ; interrogés par le Smersch, ils n'eurent d'autre solution que de reconnaître la réalité des chambres à gaz mais sans donner le moindre détail convaincant.

Les trois survivants furent condamnés en 1948 à Moscou à 25 ans de détention, ce qui était ridicule compte tenu de ce dont ils étaient accusés : Prüfer mourut en 1952 mais les deux survivants furent libérés dès 1955 ; sans doute bénéficièrent-ils de la mesure de clémence générale accordée aux prisonniers de guerre allemands. A leur retour, Schultze et Braun s'installèrent en RDA et on ne sait pas ce qu'il leur est advenu. Qu’avaient ils dit à Moscou ? L'Evénement du Jeudi, citant l’historien judéo-anglais Fleming en octobre 1993, a donné un aperçu saisissant de la vacuité de leurs aveux ; cela a été confirmé par l’analyse détaillé du compte rendu de leur interrogatoire par le révisionniste suisse Jürgen Graf. [4]

Intéressant aussi est le cas de Heinrich Messing, ouvrier de Topf qui travailla à la mise au point des crématoires pendant les cinq premiers mois de 1943 ; Pressac a d’ailleurs utilisé les comptes rendus rédigés par Messing, comptes rendus dans lesquels il découvrit (à tort, selon les révisionnistes) certaines de ses fameuses 34 « traces de preuve » de la réalité des gazages. D’après le Geschichtsort Topf & Söhne (un institut de repentance d’Erfurt [5]), la fille de Messing témoigne (aujourd’hui) de ce que son père lui a dit en rentrant d’Auschwitz à la mi-43 : « Si ce que j’ai vu voit le jour, alors nous pataugerons tous dans le sang jusqu’aux genoux. » [6]

Phrase sibylline s’il en est : en tous cas, après la guerre, Messing resta à Erfurt en RDA ; toutefois, prévenu de ce que les Russes le recherchaient, il s’enfuit pendant 2 semaines puis rentra tranquillement chez lui et ne fut plus inquiété. Il commença à travailler en 1945 à la police judiciaire d’Erfurt (dont le chef était également un ancien de Topf). Il la quitta en 1951 et devint chef du personnel dans diverses sociétés. Entré au parti communiste en 1933, Messing avait été emprisonné 3 mois par les nazis ; il bénéficia jusqu’à sa mort à 83 ans en 1985 à Erfurt d’une pension au titre de « victime reconnue du fascisme ». Sa fiche à la Stasi dit : « Pendant la guerre, fut employé en Pologne comme travailleur dans des entreprises concernées par la guerre. »

Conclusions

Il est a priori incroyable qu’on n’ait pas cherché à interroger tous les intervenants dont nous venons de parler mais, après réflexion et ainsi que le montre le procès intenté à Dejaco et Ertl, on peut le comprendre ; ces gens étaient des techniciens qualifiés et, sauf recours à la torture (recours problématique en dehors de la période de l'immédiate après-guerre), il pouvait sembler difficile de les faire coopérer à la fabrication d'une légende ; il était plus simple de s'appuyer sur les élucubrations de militaires comme Höss (après les avoir torturés), de déséquilibrés comme Gerstein ou encore de fabulateurs comme Wiesel.

Notes

[1] Jean-Claude Pressac, « Les crématoires d’Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse », CNRS Editions, Paris, 1993, 155 p.
[2] VffG, n° 1, mars 1997.
[3] Werner Rademacher, « Im memoriam Dipl.-Ing. Dr. techn. Walter Schreiber », VffG, Heft 1, Juni 2000, p. 104 sqq.
[4] Jürgen Graf, « Anatomie der sowjetischen Befragung der Topf Ingenieure », VffG, Heft 4, Dezember 2002, p. 398 sqq.
[5] Topf & Söhne*-*Startseite*
[6] « Wenn das rauskommt, was ich gesehen habe, werden wir alle bis zu den Knien im Blute waten. »

Revue Dubitando, N° 8, juin 2006
 
Old January 15th, 2022 #3
alex revision
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Dans sa première édition de son livre référence La destruction des Juifs d'Europe, l'historien numéro un de la shoah, Raul Hilberg affirmait l'existence de deux ordre d'Hitler pour déclencher le génocide des Juifs :

“« How was the killing phase brought about? Basically, we are dealing with two of Hitler’s decisions. One order was given in the spring of 1941, during the planning of the invasion of the USSR; it provided that small units, of the SS and Police be dispatched to Soviet territory, where they were to move from town to town to kill all Jewish inhabitants on the spot. This method may be called the ‘mobile killing operations’. Shortly after the mobile operations had begun in the occupied Soviet territories, Hitler handed down his second order. That decision doomed the rest of European Jewry.” Unlike the Russian Jews, who were overtaken by mobile units, the Jewish population of Central, Western, and South Eastern Europe was transported to killing centers. »

“Traduction française : « Comment la phase d'extermination fut-elle lancée? A la base, nous avons affaire à deux décisions de Hitler. Un ordre fut donné à l'été de 1941, lors des préparatifs de l'invasion de l'URSS. Il nous renseigne sur la méthode : des petites unités de SS et de la police furent envoyées sur le territoire soviétique, où elles devaient se déplacer de ville en ville pour tuer tous les habitants juifs sur place. Cette méthode peut être appelée les opérations de tueries mobiles. Peu après que les opérations mobiles aient débuté dans les territoires soviétiques occupés, Hitler lança son deuxième ordre. Cette décision condamnait le reste des Juifs européens. Contrairement aux Juifs russes, qui furent emportés par des unités mobiles, la population juive d'Europe centrale, de l'ouest et du sud-est, était transportée dans des centres de tuerie. »

Cette affirmation d'importance était donnée sans justification, ce qui montre le sérieux de l'histoire officielle !

Sous la pression révisionniste – voir les victoires révisionnistes de Robert Faurisson –, il changeait d'avis 22 ans plus tard, en 1983. Oubliés les ordres d'Hitler, la Shoah été maintenant commise sans directive !

« Mais ce qui commença en 1941 fut un processus de destruction non planifié à l'avance, non organisé et centralisé par une agence quelconque. Il n'y eut pas de projet et il n'y eut pas de budget pour des mesures de destruction. [Ces mesures] furent prises étape par étape, une étape à chaque fois. C'est ainsi qu'apparut moins un plan mené à bien qu'une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle au sein d'une vaste bureaucratie » (George DeWan, « The Holocaust in Perspective », Newsday (Long Island, New York), 23 février 1983, p. 2-3). La télépathie comme explication scientifique à la shoah, il n'y avait que le dogmatisme obscurantiste de l'histoire officielle pour le faire !

Le 16 janvier 1985, R. Hilberg confirma sous-serment cette explication au procès d'Ernst Zündel à Toronto.

Enfin, dans Le Monde du 20 octobre 2006, Hilberg, fournit une explication du même acabit, mais s'étant rendu compte sans doute de son caractère ridicule, il l'édulcora en supprimant les notions de « rencontre des esprits », et de « transmission de pensée » :

« Il n'y avait pas de schéma directeur préétabli. Quant à la question de la décision, elle est en partie insoluble : on n'a jamais retrouvé d'ordre signé de la main d'Hitler, sans doute parce qu'un tel document n'a jamais existé. Je suis persuadé que les bureaucraties sont mues par une sorte de structure latente : chaque décision en entraîne une autre, puis une autre, et ainsi de suite, même s'il n'est pas possible de prévoir exactement l'étape suivante. Dans cette optique, la vraie question est celle du point de non-retour, en l'occurrence de la date après laquelle tant de massacres avaient été commis qu'il n'était plus possible d'enrayer la machine. Ce point de non-retour a été atteint selon les endroits à différents moments. C'est en Ukraine qu'il l'a été en premier, en août 1941. A cette date, les projets d'émigration massive, notamment vers Madagascar, avaient été abandonnés et, pour résoudre les problèmes posés par la concentration des Juifs, l'extermination sur place s'est imposée comme l'ultime solution de la "question juive". Quelques semaines plus tard, les premières chambres à gaz ont été construites, et les Allemands n'avaient pas l'intention de les laisser vides... »

Notons qu'Hilberg assurait également dans la même interview :

« En presque soixante ans de recherches, je peux vous assurer que j'ai vu très peu de directives. On s'imagine qu'en régime totalitaire les individus passent leur temps à recevoir des ordres et à devoir y obéir. C'est faux. Dans toute bureaucratie, les gens prennent beaucoup plus d'initiatives qu'on ne le croit. »

Bref, la bureaucratie de la dictature allemande fut un espace de liberté créatrice dans lequel on prenait des initiatives, comme celle d’assassiner au gaz des millions de personnes ! Raul Hilberg ne doit pas connaître ce qu'est une bureaucratie ! L'exemple de la bureaucratie française, d'un pays dit démocratique donc, montre à quel point les fonctionnaires exécutent les tâches qui sont les leurs, ni plus ni moins, et ne prennent jamais de responsabilités ni d'initiatives sérieuses qui vont au-delà de leur fonction !

Si on suit Raul Hilberg, Hitler lui-même n'était donc pas au courant ! Ou s'il a été mis au courant à un moment donné, il n'a pas cherché à prendre en main les initiatives diaboliques de sa bureaucratie, afin de les corriger, de les recadrer, de les améliorer, de les accélérer ou de les ralentir. En supposant comme le fait Hilberg, que les bureaucrates avaient pris des initiatives pour plaire à leur hiérarchie, à aucun moment ces hiérarchies, et ni Hitler en haut de ces hiérarchies, n'ont pris la main sur ce projet spontané par des ordres, des directives ou des plans, afin de le réorganiser. Non, Hitler et les hauts responsables allemands ont laissé libre cours à la bureaucratie allemande jusqu'au bout, la laissant perpétuer son projet d'extermination sans aucune intervention, et n'ont donc définitivement donné aucun ordre, ni au début de la shoah, ni pendant...

Et dans cette liberté créatrice, qui fut celle des bureaucrates allemands, on se permettait donc sans ordre de la hiérarchie, d'improviser et de mettre sur pied des chambres à gaz, entreprise pourtant utra-complexe et ultra-dangereuse qui nécessite obligatoirement des études poussées, effectuées par des ingénieurs et des scientifiques extrêmement compétents !

Ceci fut fait en outre sans budget ! Les bureaucrates travaillant sans doute sur leurs heures de loisir à cette tâche en dehors de leurs tâches assignées officiellement, et construisant les chambres à gaz par tâtonnement avec des matériaux de fortune récupérés !

Robert Faurisson précisait à ce sujet : « Tandis que sur les crématoires d’Auschwitz on possède des milliers de documents, y compris les factures, au pfennig près, on ne possède sur les "chambres à gaz", qui, paraît-il, flanquaient ces crématoires, ni un ordre de construction, ni une étude, ni une commande, ni un plan, ni une facture, ni une photo. Lors de cent procès (Jérusalem, Francfort, etc.), rien n’a pu être produit. » (Lettre de Robert Faurisson au Monde, 29 septembre 1979)

Même le moindre ordre du jour n'a pu être trouvé, comme on en trouve obligatoirement sur tout projet afin de définir les tâches au jour le jour et les restes à faire, ou de corriger les procédures de travail habituelles pour faire face aux problèmes fatalament rencontrés au quotidien. En novembre 1944 pourtant, 6 mois avant la fin officielle de la seconde guerre mondiale, la propagande sioniste avait affirmé à travers divers journaux américains que la maison d'édition de l'Etat russe préparait la publication d'un «
Le_Livre_noir Le_Livre_noir
» en 5 volumes, contenant des documents – notamment des décrets et ordres du jour nazis ainsi que des témoins oculaires – démontrant « l'extermination de 6 millions de Juifs par les Nazis » (The Pittsurg Press, 28 novembre 1944 ; The Palestine Post, 28 novembre 1944 ; Youngstown Vindicator, 27 novembre 1944). Ce fameux « livre noir » est aujourd'hui totalement discrédité, par ses récits extravagants mentionnant notamment des chambres d'électrocution allemandes, des rivières de sang ou de la poudre d'os juifs utilisée pour la construction. Oubliés donc les « décrets et ordres du jour nazis » qu'on nous promettait en 1944, et qui prouvaient le massacre de 6 millions de Juifs !

Hilberg ajoute à cela un prétendu point de non-retour dans cette escalade de massacres décidés spontanément. Mais il y a là une affirmation totalement gratuite, fondée sur rien d'autre que le roman intérieur de Raul Hilberg. En supposant que les Allemands avaient commencé à gazer des personnes, ils pouvaient arrêter à tout moment de le faire. Absolument rien ne les en empêchait ! Cette vision d'escalade de la violence gratuite et sans retour, effectuée par des personnes enivrées par la haine incapables de mettre fin à leur folie sanguinaire, est une vision empruntée aux films d'horreurs qui mettent en scène le diable, et n'a strictement rien à voir avec l'histoire sérieuse des Hommes. Car, quoi qu'en pense Raul Hilberg et l'histoire officielle, les Allemands étaient bien des êtres humains, de la même nature fondamentalement que les autres !

http://veritepourtous.ucoz.ru/blog/h.../2014-01-07-38
 
Old January 15th, 2022 #4
alex revision
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IL NE PEUT PAS Y AVOIR DE DÉBAT :

« Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible puisqu’il a eu lieu*. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartient de la rappeler simplement : il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz. » (Le Monde, 21 février 1979, p.23 – Extrait d’une déclaration signée par trente-quatre historiens français en réponse aux conclusions de Monsieur Robert Faurisson quant à la l’impossibilité technique de l’existence des chambres à gaz homicides allemandes telles qu’elles ont été décrites par l’histoire officielle)

* Nous prions nos lecteurs de noter que cette déclaration commet une inversion des prémices qui ne semble pas avoir dérangé un seul des signataires (34 professionnels tout de même !).

Les historiens exposent ici leur méthodes de travail : ils posent comme postulat de départ la réalité de l’existence des chambres à gaz homicides. Leur travail ne consiste alors qu’à alimenter l’histoire qu’ils écriront dans le sens qu’ils se sont imposé, cherchant partout matière à le conforter, à la confirme. Ce postulat de départ biaise toute étude sur le sujet. C’est ainsi que les historiens considèreront l’existence d’un langage codé etc.

Et quand bien même leur viendrait-il l’idée de travailler sans postulat ni certitude de départ (puisque les preuves matérielles ne les confortent pas), la loi Gayssot les rendrait coupables d’incitation à la haine. Certaines conclusions sont donc hors la loi et le postulat de départ obligatoire : les historiens travaillent dès lors sous tutelle d’une justice qui ne les épargnera pas.

CHAMBRES A GAZ – Gayssoteries
 
Old January 15th, 2022 #5
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Rachel Hanan, survivante de l'Holocauste bas le record du monde des mensonges !

Images sans montage d'une ancienne détenue d'Auschwitz qui a battu le record du monde en affirmant le plus de choses qui ont été "rejetées par les historiens" au sujet d'Auschwitz-Birkenau, en 82 secondes.

Hannan Rachel survivante de l'Holocauste bas le record du monde des mensonges ! : Free Download & Streaming : Internet Archive
 
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